La confrérie passe à l'acte.

Citation :

La guerre commençait tranquillement sur Vakim.

Samedi matin Traqueur et ses troupes étaient enfin arrivés à proximité du chaman, ses éclaireurs lui firent pare de la situation, il semblait y avoir trois seigneurs clairement opposées au chaman, au nord, les seigneurs Gyllys et Vavitu et à l'Est la princesse Izmare ainsi que quelques seigneur qui n'avaient pas encore affiché leurs postions, les seigneurs César, MagiqueTap et Aarcia. Et personne encore n'avait pris la défense du chaman.

On l'informa aussi que le seigneur Gyllys avait déjà passé les frontières et vaincu les troupes du chaman de Baal, néanmoins celui-ci avait pu ressusciter ses troupes et peut-être celles d'autres seigneurs et repousser les troupes de l'oppresseur. Enfin Gyllys représentait toujours une menace. Ainsi, pour Traqueur, la positon de son camp était déjà choisie.

Il ne perdit pas un instant, mobilisa tous ses sujets pour planter le camp et disposer quelques frêles défenses à l'Est, du coté de Gyllys.

Ces besognes terminés, il était temps de passer à l'acte. Les troupes du nain devaient être bien affaiblies, il partit avec la moitié de son armée pour en finir avec lui. Malheureusement, son camp de cavalerie, tout comme son marchés aux ressources étaient désert, les nains n'avaient été vus nul pare ailleurs... Traqueur pu néanmoins détruire ses bâtiments. Cela devrait au moins le ralentir un certain temps.

Militairement, il ne pouvait rien faire d'autre, il consacré dans son après-midi, à la formation de sa nouvelle guilde et à la recherche d'alliés.

Sa guilde grandit vite, d'abord Amireth et le chaman de Baal le rejoignirent, puis se fut au tour d'Aarcia et d'Oragan. La résistance était née, l'espoir persistait.

Malheureusement il fut de courte durée, le seigneur Gyllys avait vite reconstruit son royaume, il érigea à son nouveau camp de cavalerie en plein milieu du royaume du chaman et son nouveau marché aux ressources au nord de son royaume, le deux bâtiment nécessitaient plusieurs jours de marche aux elfes de Traqueur pour les atteindre, enfin le chaman allait surement détruire le camp d'archerie, et Traqueur avec encore un allié prêt à se déployer au nord de Gyllys.

En résumé, les choses avaient peu changé en ce samedi, les deux camps attendaient des renforts, Traqueur était toujours seul à défendre le chaman, ses alliés déjà présent, Amireth et Aarcia s'étaient mal positionnés, ils ne pouvaient rien faire, les oppresseurs pouvaient attaquer à leur guise les terres du chaman, personne de pouvaient les stopper.
___

Le jour suivant commença sur une bien mauvais nouvelle, des rumeurs circulaient au sujet de LostJiko, il semblait avoir pris positon contre le chaman, son arrivée ne devrait tarder.

Heureusement, du coté du chaman, la situation s'inversaient, il reprit possession de ses terres, Gyllys du se replier. L'oppresseur perdait encore du terrain, cet oppresseur qui croit combattre Baal, s'opposer à lui, alors qu'il lui est soumis, toute personne ayant recours à la guerre est soumis à Baal. Dans cette guerre, il y a ceux qui servent Baal en le reconnaissant, ceux qui renient le servir, mais le servent aussi et ceux qui restent neutre, qui ignorent Baal, ce sont eux ses vrais ennemis, enfin ceux qu'ils l'ignorent car ils ne sont pas attirés par la guerre, pas ceux qui ne le connaissent pas. Baal n'est rien sans la guerre, il a beau nous inciter, nous donner les moyens d'arriver à nos fins, si nous refusons de nous battre, il ne peut rien.

Même si Baal reviendraient, mais que les Nawakimiens refuseraient de ses battre, Baal ne pourrait rien, par contre maintenant, les oppresseurs sont entrain de créer un conflit qui pourrait perdurer longtemps. soit ils servent Baal sans s'en rendre compte, soit ce sont des serviteurs de Baal encore plus fervent que ceux qui défendent Baal, ils créent un conflit pour le satisfaire...

N'oublions pas que ce sont eux qui ont créé ce conflit, le chaman essai juste de faire revenir Baal parmi nous et comme le dit la devise de la confrérie des serviteurs de Baal, tout le monde à le droit de vivre sur cette terre, de quel droit se permettent-ils de décider des êtes qui ont le droit ou non de fouler cette terre? De plus, ils se mêlent d'un conflit divin, il est donc juste que la confrérie des serviteurs de Baal les empêchent d'arriver à leur fin.

(hrp: 1: toute réponse à la fin de ce message est le bienvenu, l'on peut supposer qu'il a été écrit par un inconnu ou peut-être que Traqueur l'a volontairement écrit à la 3eme personne et qu'il est affiché sur les murs de notre beau forum et donc, tout le monde y a accès.
2: je ne suis pas non-plus un grand fan de rp, j'ai choisi de relater tous les faits, c'est surement très ennuyeux, j'essaierais de faire plus vivant la prochaine fois )

J'attends la suite.

Tu fais des bons Role Play. Notre confrérie punira les philistins agissant néfastement contre la résurrection de Baal.

Citation :

Au camp de Traqueur, dimanche après midi.

- Mon seigneur, les troupes de LostJiko ont été apéçu au nord ouest de notre camp.
- Sont-ils nombreux? Se préparent-ils a attaquer?
- Ils sont très nombreux comme attendu, mais je ne peux vous donner de chiffres exactes.
- D'accord, merci.

Traqueur traversa le camp en direction de Palantir et lui demanda:

- Palantir, LostJiko est arrivé, il a planté le camp au nord-ouest. Il faut à tout prix que je prenne connaissances de ses troupes et de leur mouvement, envois tous les aigles sur son royaume, il me faut ces informations au plus vite.
- A vos ordres mon seigneur.
Un groupe de sombres cavaliers et quelques-uns de officiers de Traqueur semblaient avoir un importante nouvelle à communiquer. Un des cavalier, probablement un mort vivant, interpella Traqueur.
- Je vous salue seigneur Traqueur. J'ai une nouvelle importante à vous communiquer.
- Et qu'est-ce donc?
- Mon seigneur, le seigneur Oragan est enfin arrivé, il s'est positionné au nord du camp de Gyllys comme vous lui aviez conseillé.
- A enfin du renfort, nos ennemis on des 10ene de milliers de nouvelles unités, heureusement, nous nous en avons quelques dizaines de plus.
Il se mit à rire

-Bon dit à ton seigneur de descendre vers le sud et d'aller saboter de camp du seigneur à 21h, nous nous occupons du reste, les lieux seront désert à votre arrivée.
-Bien seigneur, vous pouvez compter sur nous, nous feront tous ce qui est en notre pouvoir pour aider Baal.

Le cavalier repartie.

- Tu attend quoi pour envoyer tes aigles toi?
- Excusez-moi mon seigneur, je me suis laissé distraire par votre discution, je m'y met de se pas.

Palantir s'en alla de se pas envoyer les aigles.

Puis Traqueur se dirigea à nouveau vers l'ouest du camp, ou s'était établi l'état major. Il entra dans la tente d'Emendil, celui-ci était entrain d'écrire.

- Emendil, nous avons du travail, LostJiko est arrivé, mais notre allié Orangan aussi, tu pourrais t'occuper de lui et de gyllys pendant que me me prépare à accueillir notre nouveau voisin.
- J'aurais bien voulu égorger quelques amorphes, ça me lasse de combattre à leurs cotés, mais je me contenterais des nabots.
Les deux elfes se mirent à rire, puis Traqueur repris un peu de sérieux et donna les consignes à son générale en chef.
- Bon, il va falloir distraire les nains pendant que la puissante armée d'Orangan, forte de plusieurs dizaines d'hommes les sabotera leur dépôt, à 21h, fait tout ce qu'il faut pour que vous vous fassiez remarquer....
- J'ai compris pas besoin d'en dire plus.

Puis Traqueur alla dans sa tente et se mis à écrir.

Une dizaine de minute plus tard, en en ressorti, et cria.
- Un messager, j'ai une lettre a faire parvenir à notre cher voisin Lost.

Un jeune elfe se proposa.
- Bon, tu chevauche tout droit vers le nord ouest pendant une à deux heures, tu ne peux pas le manquer.
- Vous pouvez compter sur moi.

Le jeune elfe s'en pris une monture et s'en alla.

L'organisation du camp de Traqueur était loin d'être parfaite comme en témoignent les scènes précédentes, enfin, jamais encore l'armée de Traqueur n'avait du se déployer, elle n'était pas préparée à cela de toute évidence.
_________

Un peu plus d'une heure plus tard.

- Seigneur, les aigles sont de retour, l'armée ennemie est gigantesque d'après eux, au moins 40'000 archées, une 20ene de millier de cavalier et une infanterie incommensurable, peut-être une 50ene de milliers d'unités, mais il ne semble pas posséder de pièces artillerie, enfin les chiffres sont très approximatifs.
- D'ac
- Ah, et ils font route vers notre royaume.
- D'accord, c'est pas un cadeau. Dit à Palantir de les suive, on ne va pas les combattre, il faut les éviter, on ne peut rien faire pour le moment.

_________

Une quinzaine de minute plus tard.

- Seigneur, ils foncent droit sur notre dépôt.
- Il va falloir réagir.

Traqueur fit rassembler tous ses officiers et leur annonca:

- Nous allons bientôt être attaqué à l'ouest par LostJiko, il va falloir retirer le plus grand nombre d'elfes possible, Nardil, tu t'occupe de ça, prend quelques cavaliers avec toi et ramène le tous ici.
- A vos ordre

Nardil prit sa monture, fit le tour du camp pour réunir une cinquantaine de cavaliers et s'en alla.

- Maintenant, nous allons devoir nous préparer à attaque LostJiko, nous ne pourons faire autrement...

S'en suivi une longue discution.

__________
Nouvelle partie
__________

En fin d'après midi Nardil revint avec plusieurs centaines d'hommes. Il interpella Traqueur alors qu'il était encore entrain de discuter avec le reste de ses officiers pour préparer son armée.

-Seigneur, j'ai pu sauver toutes les troupes présentes au camp d'archerie, malheureusement la garde du dépôt a été massacrée, enfin nos 200 archers ont tout de même réussi à éliminer plus de 300 calier ennemis.
-D'accord, tu as fait ton possible Nardil. Sinon, vous avez pu voir si l'armée de Lostjiko avait continué plein sud ou s'était arrêtée?
-Oui seigneur, ils ont poursuivi au même rythme, il n'y avait déjà plus personne aux abords de notre royaume, peut-être attaqueront-ils le chaman ce soir.
-Espérons que non.

____________

Dans la soirée, un autre cavalier arriva au camp de Traqueur, également un mort-vivant. Il s'arrêta au centre du camp d'état major des elfes, balaya les lieux du regard, descendis de sa monture, s'approcha de Traqueur, s'inclina puis lui dit:
- Bronjoul seignorr Traqkeurr.
- Que veux-tu, qui est tu?
- C'ess...le.. ... magirocronn, ...nonn le charmane, oaui, qui....m'amené, LorstJikos,... il esrt destruit, tooté....
- Hein, vous avez vaincu LostJiko?
- Nonnn, il..

Traqueur appela l'un de ses officiers, Mamandil, qui par le plus curieux des hasard maitrisait parfaitement l'ancien mort-vivant. Il lui demanda de traduire les paroles du messager.
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- Seigneur, ils ont été vaincu, leur armée a été réduite à néant.
- Il n'a rien dit de plus?
- Non, presque mot pour mot ce que je viens de vous dire.
- Alors demande lui les forces est les pertes de chacun des camps.
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- Alors, eux, ils avaient plus de 50'000 unités toutes classes confondues, ils ont tout perdu. Leur ennemies avaient plus de 20'000 unités d'infanterie, 35'000 de cavalerie, presque 90'000 archers et ils n'ont perdu que 10'00 cavaliers.
- D'accord, dit lui que je vais me rendre le plus prestement possible chez le chaman.
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- Il pense que c'est une bonne solution.
- Mamandil, il faudra que tu m'expliquer comment ça se fait que tu connaisse l'ancien mort-vivant, mais la nous n'avons pas que ça à faire, tu viens avec moi chez le chaman.
- Puisqu'il le faut....

Les deux elfes allèrent chercher leur montures, Traqueur ordonna à quelques autres cavalier du camp de le suivre et la petite dizaine de cavalier s'en alla vers le sud.

Citation :

Lundi (en cours de rédaction)

Lundi, à l'aube la petite délégation partie la vielle revint enfin. Traqueur était triste, mais déterminé. Il fit rassembler ses troupes pour leur faire part de la situation.

- Mes frères, mes amis, l'heure est grave, l'armée du chaman a été balayé, et ce diable de LostJiko continue de progresser à une vitesse effroyable, peut-être 35 kilomètres par jours, ou plus, ce qui fait que nous n'avons plus que quatre à cinq jours pour le stopper s'il continue à ce rythme la. Aucuns de ceux qui nous ont promis assistance ne peuvent ou ne ne veulent venir.

- ... La seule chose que nous pouvons encore faire, c'est nous sacrifier, je dis bien nous sacrifier, car nous sommes plus de dix fois inférieur à l'ennemi, nous allons littéralement nous faire massacrer, mais au moins, le monde se rappellera de notre sacrifice, qu'importe le retour ou non de Baal, l'on se rappellera de nous, même si l'on nous verra comme des traitres, des monstres, l'on se rappellera de nous et qui sait, si nous Baal vaincra nous pourrons passer pour des héros, mais le plus important, c'est que tous ceux qui se sacrifieront soient persuadés que c'est ce qu'ils ont de mieux à faire, qu'ils y ont quelques chose qui leur est cher à défendre, leurs valeurs, leur foi en Baal.... ou je ne sais quoi d'autre, car nous sommes des guerriers et Baal est notre dieu, Baal est le dieu de la guerre, ceux qui pensent pouvoir combattre Baal par la guerre se trompent, tout guerrier est soumis à Baal. Ou peut-être parce que vous en avez assez de ces dieux et de leurs serviteurs qui nous oppressent, que vous voulez vous délivrer de leurs chaines, montrer que nous pouvons vaincre ces dieux...

- Enfin, encore une fois, chacun à le droit de choisir de suivre ou non Baal, et de choisir jusqu'où le suivre. Je partirais dans l'après midi avec tous les volontaires. Merci. Merci à vous tous, de m'avoir suivi jusqu'ici.

Il se retira ensuite avec son état major pour préparer l'attaque, le sacrifice...
________

Alors que le soleil arrivait à son apogée Emendil et ses troupes revinrent enfin. Celui-ci fit part de la situation à Traqueur, les choses s'étaient plutôt bien passées à en voir la mine réjouie du général, mais il déchanta vite en apprenant les tristes nouvelles du front ouest. La destruction du dépôt et du marché aux ressources ainsi que leur fulgurante victoire à environ six-cents contre presque un millier de nain n'étaient rien face à l'incommensurable progression ennemie.

________

A deux heures de l'après midi, l'armée fut enfin prête, plus de 13'000 elfes firent route vers le royaume ennemi. Ils furent rapidement repérés, des millier de morts-vivants les attendaient aux abords de leur camp d'infanterie. Cela n'était pas si mauvais, c'était même une chance, ils pourraient rester à proximité de la forêt qui s'étendait presque jusqu'aux postions ennemis. Les elfes décidèrent d'attendre les morts-vivants ici. Persuadés de leur victoire et voulant en finir au plus vite, ceux-ci se pointèrent enfin. Les deux camps se préparèrent à la bataille, les elfes restèrent à proximité de la forêt, se mirent en rang, armèrent leur arcs et attendirent que l'ennemi s'approche. A quelques centaines de mètres en face, les morts-vivants avançaient doucement et enfin une première troupe de cavalerie s'élança, au même moment les archers se mirent en place. Les elfes envoyèrent une première nuée de flèches sur l'ennemi, plus d'un tiers du premier bataillon ennemi s'effondra, quelques secondes plus tard, ils envoyèrent une deuxième volée de flèches, bon nombre de cavaliers s'effondrèrent. Mais l'ennemi riposta, une première partie des archers morts-vivants étaient déjà en place, une volée de flèche s'abattit sur les elfes. Mais ils ne lâchèrent pas leur postions, ils envoyèrent une dernière volée de flèches sur les cavaliers ennemis. Mais une petite résista encore, ils étaient maintenant très proche des elfes.

- A vos épées, éliminez-les!

La rare cavalerie elfique fut la première à contrer l'ennemi, mais l'ennemi la transperça, il continua sa route, tous le reste des troupes de Traqueur se dressa contre l'ennemi, une nouvelle volée de flèches, plus grande encore s'abattit sur les elles, ceux-ci achevèrent enfin la bataillon ennemi, mais ils étaient grandement affaiblis. Traqueur ordonna:

- Replis, dans la forêt, l'ennemi est trop fort, nous ne pouvons plus rien.

Avant de parvenir à leur objectifs, une partie des flèches ennemis en abattit encore quelques-uns et un deuxième bataillon de cavalière s'était élancé à leur poursuite. Ils atteignirent enfin la forêt, toujours toujours poursuivis, ils s'enfoncèrent vers la gauche du bois, mais le bruit des sabots de la cavalerie ennemi se fit de plus en plus fort, une fois arrivée à la forêt, elle se dispersa.

- Dans les arbres! Il faut éliminer nos poursuivants!

Tous les elfes escaladèrent les arbres et se préparèrent à tirer. Une centaine de cavalier passèrent en dessous de elfes. Peu de cavaliers échappèrent à la première attaque. Les elfes redescendis achevèrent leur derniers poursuivants et continuèrent leur fuite. Ils savaient qu'il avait encore bon nombre de poursuivants à leur trousses, ils se hâtèrent.

Dans la soirée, ils refirent un camp plus à l'est, leur précédente position était trop remarqué.

Les morts-vivants profitèrent de la situation pour détruire le camp de bucheron et le dépôt de Traqueur laissé à l'abandon.

Citation :

Mardi, une légion de LostJiko continua sa progression à travers les terres de Traqueur et détruit sa carrière de pierre, les elfes essayèrent de protéger le secteur, mais les combat fut inégal à environ 2000 contre une bonne dizaines de millier d'archers ennemis accompagnés des quelques autres unités. Après avoir causé quelques dégâts à l'ennemi, ils retirèrent.

Voyant que les elfes restant n'étaient plus une menace de première ordre, ennemi reparti également.

Dans les jours qui suivirent les choses ne changèrent guère... Les elfes n'étaient plus en mesure de faire grand choses, et le chaman semblait vaincu, que pouvaient-ils faire, Gyllys avait reformé son armée, un nouvelle ennemis s'était positionné au nord...

(hrp: voila, j'ai enfin écrit la partie manquant, mais sans inspiration, juste parce qu'il fallait combler le trous, dans mes prochaines rp, j'essaierais d'être plus sombre, plus plus tyrannique, mais ce n'est pas encore pour tout de suite ... )

Citation :

Samedi, l'espoir était retombé au plus bas au camp de Traqueur, les nouvelles était mauvaises, LostJiko s'approchait dangereusement du deuxième brasero, il n'y avait toujours pas de nouveaux alliés, les troupes de Carambar avaient lancé leur première attaque. L'armée de Traqueur n'avaient pas riposté, elle avait déjà abandonné le carrière de sable il y a plusieurs jour de cela, mais le fait d'être encerclé était du plus en plus pesant, à gauche le seigneur Lostjiko à droite Gyllys et maintenant carambar qui venait en rajouter une couche, enfin cette attaque aurait aussi pu être prise du bon coté, Traqueur et ses elfes étaient une sérieuse menace, bien qu'affaiblis et sure de perdre, ils étaient toujours crains, mais Traqueur se disait plutôt que son voisin du nord voulait participer à la victoire, tel un charognard qui ramassait les derniers morceaux du cadavre.

Enfin Traqueur était à nouveau convaincu qu'il devait mourir, mourir seul, c'était la dernière chose qu'il lui restait à faire, il le voulait déjà jusqu'à jeudi, mais le braséro avait été déplacé, une lueur d'espoir persistait, maintenant elle était à nouveau éteinte.

Il alla dans la tente d'Emendil pour lui faire part de son projet.

- Pourquoi? Tes hommes ont encore besoin de toi, les serviteurs de Baal aussi, the Frions comptent sur toi.... et moi, comment pourrais-je te laisser aller seul au combat?
- Cette guerre a déjà fait assez de ravage, nous avons fait moult sacrifices pour RIEN, c'en est trop, je ne veux pas tous vous voir mourir devant mes yeux.... lundi bon nombre de personnes qui m'étaient cher son mort, je ne peux plus le supporter, je vais suivre ma destiner, me sacrifier pour Baal, démontrer mes paroles, mourir dans l'honneur et la gloire.
- Je ne peux pas te laisser faire.
- Pourtant il le faudra, si il le faut je vous ligoterais tous pour pouvoir partir seul, votre heure n'est pas venu, vous m'avez déjà suivi jusqu'ici, juste pour m'aider à accomplir ma destinée, s'en est assez.
- Tu as encore tant de choses à faire.
- Emendil, je crois en toi, je sais que tu pourra mener the frions et notre peuple, mais oublie cette guerre, c'est mon affaire.
- M..
- Je ne changerais pas d'avis, je ne peux mourir autrement qu'ainsi.
- Si telle est ton désir.

Ensuite Traqueur fit rassembler toute son armée pour leur faire parte de la nouvelle et leur donner les dernières consignes.

- Mes amis, mon heure est venu, j'y ai longuement réfléchi, je vous ai entrainé dans un combat qui n'est pas le votre, il est tant de rentrer sur votre belle Yakim, de retrouver vos familles, d'oublier cette guerre, n'essayez pas de me retenir, ma décision est prise. Emendil prendra les reines du royaumes.

Puis il s'adressa à son état major.

Mettez tout en œuvre pour partir d'ici au plus vite, aller d'abord chez mon ami Amireh puis rentrer sur Yakim. Penlendu, tu ramènera l'armée sur Yakim, car Emendil doit faire un dètoure par Wakim pour s'entretenir avec dame Lexa sur l'avenir des frions.

Tous les officiers acquiescèrent et acceptèrent les consigne, à contre cœur.

Traqueur, alla se préparer, il revêtit son armure, remit son grand manteau noir et son casque d'acier par dessus, pris son arc, sa fidèle épée, son bouclier et s'en alla en saluant ses fidèles. Il se dirigea vers l'ouest. Il aurait aussi pu aller au nord vers le nouveau venu Carambar lui montrer à qui il avait à faite, ou à l'est pour s'acharner sur Gyllys, mais sans LostJiko l'ennemi n'aurait jamais gagné, c'est donc vers son camp qu'il se dirigea.

Citation :

Les troupes de LostJiko le repérèrent rapidement avant même d'atteindre le camp d'infanterie, il ne faisait rien pour se cacher aussi...

Comme il était seul, elles s'approchèrent et lui demandèrent ce qu'il voulait.
Dans son plus beau mort-vivant il dit.

- Ou est votre maitre? Je veux l'affronter!

L'une des répugnantes créatures répondit.

- Il est parti au sud pour mener nos armés, il va vaincre le chaman de Baal et empêcher le chaos d'arriver sur cette terre.
- Passionnant, dans ce cas j'arrive trop tard... qu'importe, je vous tuerais tous autant que vous êtes. Qui veut m'affronter?

Les rangs s'écartèrent, un puissant zombi s'avança.

- Je suis partant.

Il fonça sur Traqueur, lui envoya un puissant coup d'épée, mais celui-ci esquiva et sa lame lui fendit la gorge.

- Bon passons aux choses sérieuses, vous pouvez tous venir sur moi, aucuns d'entre vous ne me fera tomber.

Le vrai combat commença. Traqueur esquivait, bloquait tranchait, les morts-vivants tombaient par dizaines, mais malgré ses paroles il était sur de tomber, il savait que sa fin était venue, qu'il n'arriverait pas à tuer les milliers d'ennemis qu'il avait en face de lui, mais il combattait, il était persuadé que c'était la seul chose qui restait à faire, et maintenant il ne pouvais plus revenir en arrière....

Traqueur ne laissa aucunes chances à ses ennemis plusieurs minutes durant, jusqu'à ce que son bouclier cassa sous un puissant coup de masse. Il ne restait plus que Terendul et Calmacil, combattant ensemble comme ils l'avaient fait depuis de nombreuses années, ce faisait longtemps que Calmacil n'avait pas eu pareil combat, Traqueur non-plus d'ailleurs, probablement jamais. Le jeune elfe et l'épée millénaire ne faisaient plus qu'un. Traqueur se sentait encore plus fort maintenant, Calmacil virevoltait, elle transperçait et ôtait la vie comme jamais, des dizaines d'ennemis périrent sous son tranchant.

Le combat durait déjà depuis plusieurs minutes, Terendul avait tué plus de braves combattants, mais ils n'avaient toujours pas réussi à la tué...

Enfin la plénitude de duo ne fut pas éternelle, Traqueur reçu un puissant coup de masse qui le balaya, il se releva, continua en tua encore et encore, mais reçu un autre, d'épée cette fois et en plein dans son casque, il faut presque assommé, mais il se releva, il en tua d'autres, le sol était déjà jonché de cadavres dans un rayon de 5 mètres, il devait les chevaucher, ils le ralentissaient, il finit par attirer ses ennemis un peu plus loin pour continuer le combat, la il commençait à douter, pourquoi était il entrain de massacrer les oppresseurs alors qu'il y avait plus d'espoir, qu'allaient devenir les siens sans lui? Mais il continua, ne se posa plus de questions, il s'en était déjà assez posé... Il reçu encore un coup dans le tors, son armure absorba, mais il avait mal, il avait mal aux jambes, au crane, au tors, mais il continua son combat aux cotés de Calmancil, elle, elle était toujours immaculée de toutes blessures, elle était plus résistante que nulle arme que l'on produisait à ces jours, elle est beaucoup plus qu'une épée de nos jours, c'est une puissance incommensurable à elle seul, aucunes amures de cet age ne pouvait lui résister et dans ce combat, elle en transperça des armures, encore et encore, jusqu'à ce que Traqueur reçu ce coup qu'il ne pu éviter, la lame entra sa sa nuque est descendis au plus profond de son être, mais il ne senti presque rien, le sentiment du devoir accompli, de pouvoir enfin reposer en paix, de savoir que c'était enfin fini. Les générations futures se rappelleront-elles de lui, Nawakim se rappellera-elle de lui, a-il réussi ou son ancêtre le dis Megabloups a échoué? Calmancil balaya encore ennemi. Puis Terendul prononça ces quelques mots avant que son corps ne s'effondre de tout entier dans la prairie jonchée de cadavres.

- Fidèles serviteurs de Baal vous vaincrez comme vous avez toujours vaincu.

Le zombie qui lui avait planté la lame qui causa sa perde empoigna Calmacil pour la ramener comme trophée, mais la lâcha tout aussi vite, son bras s'était enflammé à peine l'avait-il touché, rare sont ceux que Calmacil acceptent. Aucun autre n'essaya de la prendre, tous s'en allèrent sans même essayer de savoir quel visage se cachait derrière le masque de Terendul, en notre langue le grand ténébreux...

Citation :

Alors que le départ approchait à grand pas, un autre messager entra dans le camp, un elfe cette fois-ci. Il demanda à voire le seigneur Traqueur. On lui expliqua la situation, il se dirigera dans vers la tente d'Emendil.

- Seigneur Emendil, j'ai un message pour vous, un inconnu m'a chargé de donner cette lettre au seigneur Traqueur, mais comme il semble vous avoir quitté, je suppose qu'il vous revient.
- Il peut être source d'espoir, donne le moi.

Le messager tendit l'enveloppe à Emendil, celui-ci l'ouvrit et survola rapidement le parchemin.

- NON!!!!!!!!, il est mort pour rien, son sacrifice n'aura été d'aucune utilité... seule la bravoure de son acte nous restera...

Emendil se laissa tomber, il était triste, apprendre une telle nouvelle, néanmoins, il ne laissa paraître aucunes larmes, au contraire, un petite lueur d'espoir émanait de ses yeux, il se releva, s'assit à sa table et se mis à écrire.

Un officier entra précipitamment.

- Gén, seigneur, vous allez bien? On vous a entendu crier.
- Oui, ce n'est rien, enfin si, je viens d'apprendre que notre seigneur est probablement mort pour rien, il est peut-être encore en vie, mais c'est peu probable, il était vraiment déterminé à mourir. Nous le vengerons.
- Ah..., c'est malheureux, mais de qu'est ce que cette lettre vous a appris?
- Nous ne sommes pas seul... mais nous en rediscuterons plus tard, préparez-vous pour le départ. Pour le moment il faut que nous nous retirions tous sur le champ, j'enverrais des missives à nos alliés.
- Bien mon seigneur.

Emendil fini de rédiger sa lettre et la donna au messager.

- Tu peux la faire parvenir à son expéditeur?
- Oui, en deux ou trois jours ce devrait être bon.

Le messager repartit sur le champ. Emendil restait songeur. Le départ devait bientôt avoir lieu.