Cruel dilemme

Il était seul.
Il ne parcourait plus que le chemin séparant l'auberge de l'étang.
Sa seule arme, sa vieille canne à pêche.
Il se contentait de pêcher, lui un guérisseur des champs de bataille.
Toujours présent pour les Z.
Ses vieux amis, Vavitu, Ce vieux curé pervers de Saint-Pierre, le bouillant Arkun, la précieuse Giz, le discret Darius, les amoureux éternels uriel et saphy et bien d'autres.

les visites nocturnes des grottes, Les soirées arrosées au Couvent, les soins apportés à Dames Giz lorsqu'elle affrontait sans relache les monstres.

Et puis, la Guerre. L'attaque lâche et pernicieuse des orcs sur la princesse Valfe. Sa détermination, malgré la destruction de son domaine a ne pas baisser les bras.

Son arrivée tardive sur le champ de bataille en compagnie de Gyllys et Thor. Une amitié forte forgée sur les champs de bataille, peu de parole mais des actes bien plus fort que toutes celles-ci.
Ses terres désolées et ravagées par la folie et une guerre sauvage.

Le combat contre le Chaman, enfin un bien grand mot pour lui. Il avait protégé les arrières de ses amis. et puis le calme.
La disparition de ses amis, la mélancolie de Giz. Et le calme. Plus personne à soigner. Alors la pêche, voila tout ce qu'il lui restait. La Pêche.

Mais le bruit et la fureur sont de retour. Les orcs remettent le couvert.
Princesse Valfe est assailli par quatre orcs, Wogard s'en prends a alumess.
Les armées sont telles qu'ils n'est pas possible qu'ils soient seul.
On les aident, sournoisement dans l'ombre.

Les missives arrivent, les Tambours et Trompette des Z se réveillent.
Mais que faire face à une telle armada d'orcs tous assoiffé de sang.

Une nouvelle guerre se profile, des nuits blanches à veiller sur les mouvements ennemis.
Mais est-ce que tout cela en vaut-il la peine?
Vais-je encore devoir sacrifier des hommes pour la quiétude d'une île?
Les orcs réclament leur terres ancestrales, carambar avait beau fouiller toutes les souvenirs des anciens. personne n'en avait jamais entendu parler.

Que faire? pensa-t-il.

Ses messagers attendaient.

Il ne fit qu'une chose, il ramassa sa vieille canne à pêche et alla à l'étang.