concours "il fait bon vivre ..." : rp de iszmar

voici mon RP 'facétieux' (âmes sensibles s'abstenirsmiley for :lol:smiley for :lolan image

Grikim . Mâtine. Le Soleil est à peine levé.
Un nuage crasseux s’élève à l’Ouest de la Rivière des Espoirs. Une joyeuse bande d’Orcs sauvages finit d’écharper un fermier et sa marmaille autour d’un grand feu de joie.
Seule , la fermière court à travers champs, un bébé braillant dans les bras, trois Orcs bondissant dans les épis de blé à sa poursuite.

Mâtine. Le Soleil s’est un peu voilé .
Messire Elfe finit ses ablutions matinales incommodé par le vacarme d’une bande d’Orcs en goguette jouant avec la faune locale. Mais c’est la flore locale qui l’inquiete. Le feu des facétieux Orcs pourraient se répandre aux premiers arbres de la forêt. Il réunit quelques-uns de ses frères dans la Clairière des Ormes et forme le cercle d’incantation.
Madame court vers les arbres où elle sera en sécurité.

Le Soleil finit de disparaître derrière de gros nuages menaçants.
Le tocsin du château sonne enfin; l’alarme est donnée. Une vingtaine de cavaliers harangués par un fier capitaine passent le pont-levis au grand galop vers les villages.
Mais la ferme sera bientôt en cendres et la viande cuite.
Madame s’essouffle mais arrive sur la forêt.

Grikim . Je me réveille. Il pleut ce matin.
La cavalerie arrive sur les Orcs. L’attention du capitaine est attirée par le brouhaha d’une femme qui hurle, d’un bébé qui pleure et de trois orcs qui mugissent. Il tire sur les rênes de sa monture et prend la direction des champs suivis de ses meilleurs hommes, tandis que les autres se farcissent les festoyeurs.
Madame vient de se heurter au mur invisible incanté par les Elfeset tombe à la renverse abasourdie.

Mes chausses auraient bien besoin d’un bon coup de brosse. La compagnie des Nains est aux aguets. Ils n’ont pas chômé cette nuit mais revenir par la forêt sur les conseils de ce pâle étranger n’était pas une si bonne idée. Il y a quelque chose d’elfique dans l’air. Quelques bons coups de hache et nos compères devraient venir à bout des simagrées des grands Elfes de la clairière.
Madame est aux abois. Les Orcs sont pratiquement sur elle et la cavalerie n’arrive pas.

Mon gruau me cale le ventre et j’ai déjà envie d'une bière.
Les Orcs sont en débâcle. Un groupe d’Elfes inconscients pourraient bien finir hâchés menu. Une femme et son bébé voient la mort en face. L’Elfe noir lui est fatigué . La nuit fut longue et tramer tous ces drames a épuisé sa magie . Il est temps de tirer le rideau .

Avec ce temps, je suis bon pour allez décrotter le cheval de la comtesse.
L’incantation des Elfes a été rompue par l’attaque des nains .
Madame est parvenue de justesse à entrer dans la forêt , où les Orcs qui ne s’y risqueront pas voient disparaître leurs brochettes. Heureusement la cavalerie arrive enfin , tout n’est pas perdu . Le combat s’engage . La faim des Orcs contre la Loi des Hommes. L’issue sera mitigée .
Madame s’en sort bien.

Tiens , j’en était sûr ! "Oui, Comtesse, bien sûr Comtesse."
Les Elfes et les Nains finissent de s’entretuer , les cavaliers et les Orcs de s’étriper , l’Elfe noir de faire sa couche.
Libérée d’un mari disgracieux et d’une marmaille envahissante, Madame , le cœur en fête, se rend au cercle des Pierres et dépose son bébé sur la grande pierre plate. Elle se met a danser comme une forcenée sous la pluie . Un esprit malin qui attendait son heure s’insinue dans le bébé qui en gazouille de joie. La Sorcière est de retour .

Grikim - La Météo n'était vraiment pas bonne ce matin.
Dans les vestiges sanguinolents du petit matin, Baal sur sa pierre plate ouvre un œil . L’Elfe noir a bien œuvré .
La Comtesse regarde le palefrenier se diriger en trainant les pieds vers les écuries où arrivent les cavaliers déconfits et trempés
"Qu'il fait bon vivre sur Navakim...!" se dit-elle , en lançant une oeillade au jeune fringant capitaine ...

(HRP > les formats du mesage ne sont pas passes a la copie , pas grave ...mais je me permets donc de le re-poster)

Mâtine. Le Soleil est à peine levé.
Un nuage crasseux s’élève à l’Ouest de la Rivière des Espoirs.
Une joyeuse bande d’Orcs sauvages finit d’écharper un fermier et sa marmaille autour d’un grand feu de joie.
Seule , la fermière court à travers champs, un bébé braillant dans les bras,
trois Orcs bondissant dans les épis de blé à sa poursuite.

Mâtine. Le Soleil s’est un peu voilé .
Messire Elfe finit ses ablutions matinales incommodé par le vacarme d’une bande d’Orcs en goguette jouant avec la faune locale. Mais c’est la flore locale qui l’inquiete. Le feu des facétieux Orcs pourraient se répandre aux premiers arbres de la forêt. Il réunit quelques-uns de ses frères dans la Clairière des Ormes et forme le cercle d’incantation.
Madame court vers les arbres où elle sera en sécurité.

Le Soleil finit de disparaître derrière de gros nuages menaçants.
Le tocsin du château sonne enfin; l’alarme est donnée. Une vingtaine de cavaliers harangués par un fier capitaine passent le pont-levis au grand galop vers les villages.
Mais la ferme sera bientôt en cendres et la viande cuite.
Madame s’essouffle mais arrive sur la forêt.

Grikim . Je me réveille. Il pleut ce matin.
La cavalerie arrive sur les Orcs. L’attention du capitaine est attirée par le brouhaha d’une femme qui hurle, d’un bébé qui pleure et de trois orcs qui mugissent. Il tire sur les rênes de sa monture et prend la direction des champs suivis de ses meilleurs hommes, tandis que les autres se farcissent les festoyeurs.
Madame vient de se heurter au mur invisible incanté par les Elfeset tombe à la renverse abasourdie.

Mes chausses auraient bien besoin d’un bon coup de brosse.
La compagnie des Nains est aux aguets. Ils n’ont pas chômé cette nuit mais revenir par la forêt sur les conseils de ce pâle étranger n’était pas une si bonne idée. Il y a quelque chose d’elfique dans l’air. Quelques bons coups de hache et nos compères devraient venir à bout des simagrées des grands Elfes de la clairière.
Madame est aux abois. Les Orcs sont pratiquement sur elle et la cavalerie n’arrive pas.

Mon gruau me cale le ventre et j’ai déjà envie d'une bière.
Les Orcs sont en débâcle. Un groupe d’Elfes inconscients pourraient bien finir hâchés menu. Une femme et son bébé voient la mort en face. L’Elfe noir lui est fatigué . La nuit fut longue et tramer tous ces drames a épuisé sa magie . Il est temps de tirer le rideau .

Avec ce temps, je suis bon pour aller décrotter le cheval de la comtesse.
L’incantation des Elfes a été rompue par l’attaque des nains .
Madame est parvenue de justesse à entrer dans la forêt , où les Orcs qui ne s’y risqueront pas voient disparaître leurs brochettes. Heureusement la cavalerie arrive enfin , tout n’est pas perdu . Le combat s’engage . La faim des Orcs contre la Loi des Hommes. L’issue sera mitigée .
Madame s’en sort bien.

Tiens , j’en étais sûr ! "Oui, Comtesse, bien sûr Comtesse."
Les Elfes et les Nains finissent de s’entretuer , les cavaliers et les Orcs de s’étriper , l’Elfe noir de faire sa couche.
Libérée d’un mari disgracieux et d’une marmaille envahissante, Madame , le cœur en fête, se rend au cercle des Pierres et dépose son bébé sur la grande pierre plate. Elle se met a danser comme une forcenée sous la pluie.
Un esprit malin qui attendait son heure s’insinue dans le bébé qui en gazouille de joie. La Sorcière est de retour .

Grikim - La Météo n'était vraiment pas bonne ce matin.
Dans les vestiges sanguinolents du petit matin, Baal sur sa pierre plate ouvre un œil . L’Elfe noir a bien œuvré .
La Comtesse regarde le palefrenier se diriger en trainant les pieds vers les écuries où arrivent les cavaliers déconfits et trempés "Qu'il fait bon vivre sur Navakim...!" se dit-elle , en lançant une oeillade au jeune fringant capitaine.