la haut sur la montagne...

Un souffle d'air descendît de la montagne....
nul ne montait la haut...
le souffle d'air froid parcouru la plaine....
tous ressentirent un frisson...
le souffle d'air traversa la mer...
les voiles des navires se gonflèrent...
le souffle d'air trouva une autre montagne sur une autre île...
plus personne ne s'y rendait plus ....
le souffle d'air se dirigea droit sur le plus haut sommet....
il s'y trouvait un amas de neige....
le souffle d'air le balaya....
une stèle apparue.....

Au dessus des nuages, accrochée au flanc du plus haut des sommets, se trouvait niché une cité.
Cette cité semblait avoir été sculpter dans la roche elle même.

Au dessus de la cité, perchée sur le plus haut des sommets, se trouvait posée une forteresse.
C'est forteresse semblait dominé le monde.

Sur la plus haute tour, se trouvait un vieux nain qui regardait au loin.
Dans sa main droite il tenait un peu de neige, d'un souffle il fît voler les flocons au loin...

se souffle devait descendre la montagne.....

Là se tenait Maître Karak, Seigneur Nain de la Montagne....

Personne ne dérangeait le Seigneur Nain quand il méditait sur sa tour, il aimait resté la haut des heures entières à réfléchir au monde qui l'entourait.

Sa Famille avait toujours vécu près des montagnes et son peuple avait ici encore façonné des merveilles en sculptant la roche pour en faire une cité pleine de vie et de beauté.

Quand après de nombreuses heures d'effort vous aperceviez la cité votre cœur ne pouvait rester insensible à la vue de ces tours finement ciselées, de ces remparts agrémentés de statues et de tout ses dômes qui coiffaient les bâtiments.

Il fallait que cette cité soit belle car la voir n'était pas encore l'atteindre et passé le premier poste de garde le plus impressionnant était les milliers de marches qui serpentaient jusqu'à la porte.

le voyageur était rare à se rendre à la cité de la montagne, il fallait bien dire que la plus part ne connaissaient son existence et encore moins le chemin pour s'y rendre....le long chemin et difficile chemin.... les milliers de marches qui menaient à la porte.

Un escalier battu par de soudaines de bourrasque de vents glacés qui ajoutait à l'endurance et au courage qu'il fallait pour se rendre la haut. La rumeur disait que ces souffles d'air froid n'étaient rien d'autre que les soupirs de Maitre Karak quand il était sur la tour à méditer....

Thorïn se souvenait de cette première ascension vers la cité....

Thorïn faisait parti de ceux qui avait suivi Maitre Karak dans sa retraite et n'avait jamais vu la cité mythique avant le jour où il y arriva guidé par le vieux nain.

ce jour là, une fois franchit le premier poste de garde, il n'avait point vu la cité qui était masqué par des nuages, mais l'escalier s'enfonçant dans le néant l'avait fort impressionné mais le Maître nain n'avait point ralentit et tous l'avaient suivi.....

puis au bout de quelques heures comme par miracle l'escalier l'avait mené au dessus de la couche nuageuse et il avait eu la sensation d'être sur une mer de coton. Ce n'est qu'au bout de quelques instant qu'il put s'arracher à ce magnifique spectacle pour regarder vers le haut.....et là ce qu'il vit est à jamais marqué dans son âme: la cité de la montagne lui était apparue, encore loin mais déjà si belle....

"allez ne nous attardons pas si nous voulons arrivez avant la nuit..." ce fût une des rare parole du maitre nain pendant l'ascension.

Ils avaient grimpé inlassablement, passant les postes de garde les uns après les autres suivant en silence le Maître qui ouvrait la marche. L'allure n'était pas vive, mais constante, rien en semblait pouvoir ralentir ou fatigué le vieux nains et derrière tous avaient à cœur de tenir le rythme qui pour certain semblait élevé. Thorïn pour avoir déjà accompagné en montagne le Seigneur Karak savait qu'il avançait "lentement".

Thorïn se rappelait également comment il avait imaginé cet escalier qui n'en finissait pas de monté. Ce n'était pas un escalier comme il avait l'habitude d'en voir dans un bâtiment ou une rue, les marches étaient parfois assez larges pour laisser passer jusqu'a 5 Nains de front et parfois deux personnes ne pouvaient se croiser. la profondeur des marches variait également beaucoup, ce qui rendait l'ascension particulièrement difficile et éprouvante. Mais toutes ces marches avaient non seulement été taillées dans la roche mais les contre-marches avait sculpté de décor représentant des scènes aussi variées que des paysages, des animaux, des batailles ou des personnages de l'histoire de leur peuple.

Thorïn avait grimpé....

la Cité n'était pas visible pendant tout le trajet, l'escalier collant au relief de la montagne, mais à chaque apparition Thorïn ne pouvait détaché ses yeux des remparts qu'il apercevait au loin. Thorïn eu un franc sourire à ce souvenir: monter des marches en ayant le nez en l'air pour essayer d'apercevoir la cité, tout en portant son barda avait créé quelques belles bousculades et les anciens avaient été obligé de faire remarquer au plus jeunes de concentrer leur attention sur la montée.

Mais même Maître Karak jetais des regard vers la cité quand elle apparaissait....et eux tous grimpaient

Puis après un virage, elle était apparue à quelques centaine de mètres elle était là splendide et majestueuse....

Thorïn se rappelait qu'ils étaient arrivé au couché du soleil et que les murs de la cité éclairés par les derniers rayons du soleil semblait fait d'or, c'était magnifique...

Le temps qu'ils arrivent à la porte, la nuit était tombé et pour l'arrivée du Seigneur Karak toute la cité avait été illuminé de millier de bougies... Thorïn se rappelait: c'était magique...

Le Seigneur Karak c'était arrêté juste au seuil de l'énorme porte qui avait été ouverte, il y avait une foule immense qui était là pour l'accueillir....et parmi eux c'était avancé le Capitaine Durlain, chef des gardes de la cité....
Thorïn se rappelait: c'était si intense....

Le capitaine leva la main et un silence assourdissant ce fît, même le vent semblait faire silence...
puis gravement il posa la question rituelle:
"Qui es tu, toi qui te présente devant les portes de KARAZ RILL KARAK?*"
le Seigneur Karak répondît d'une voix forte et claire:
"Je suis Maître Karak, Seigneur de la montagne et Servir est mon Devoir!!!"
Le capitaine laissa passer quelques interminables secondes puis déclama:
"...et notre devoir est de vous servir..." la suite se perdît dans la clameur de la foule qui reprenait le serment d'allégeance
Thorïn se rappelait...l'émotion d'un peuple qui accueillait son souverain....


*NDLA: en langage humain littéralement: Montagne d'or Durable que nous pouvons traduire par la montagne dorée éternelle

La fête fût grandiose et la bière coula telle une rivière à la fonte des neiges...
que de joie pour ce qui était un retour dans le dernier bastion de notre peuple, chassés de notre dernière colonie par l'infamie et la trahison.
Mais tous furent heureux de non seulement retrouver leur seigneur vénéré mais également tout ceux qui l'avaient suivi dans cette expédition. Même ceux qui comme
lui n'avait jamais vu la cité furent accueilli avec ferveur, il faut bien dire que le peuple nain est une grande famille et qu'en cherchant bien dans les livres des
anciens tout les uns sont un peu cousin de tout les autres et vice versa...

Thorïn se rappelait... ce n'était pas si loin que ça....

Cela faisait plusieurs jours que Maître Karak était perché sur la plus haute tour de la cité, il restait le plus souvent immobile mais son esprit lui n'arrivait pas à se
fixer ou s'apaiser....des décisions difficiles l'attendaient et chacun de ses soupirs semblaient créer une volute d'air qui prenait corps et se dirigeai vers la plaine.
Cette plaine où des envahisseurs s'approchaient dangereusement des massifs où serpentait le chemin secret qui menait à Karaz Rill Karak....
Le vénérable nain venait de prendre sa décision....

Les plus importants chefs de clan étaient tous en grande discussion dans la salle du conseil, chacun avait son propre avis sur la question, mais une chose
les mettaient tous d'accord: Maître Karak prendrait une décision et tout le monde appliquerait son choix.

Le Seigneur nain fît son entrée et le silence s'imposa.
"Mes amis, nous ne pouvons prendre le risque d'une autre infamie qui nous affaiblirai comme il y a quelques mois déjà...." Maître Karak avait soupiré à cette évocation et tous virent les tentures ondulées sous le courant d'air froid qui en avait résulté et même les plus endurcis des chef de guerre eurent des frissons à voir et ressentir ainsi
la colère et la tristesse contenu par leur souverain et guide....il reprît: "Nous allons détruire ces opportuns...Servir est mon devoir!!!!" tous frappèrent leurs poitrines en criant leurs réponses:
"..et notre devoir de vous servir...." c'était la guerre....

Thorïn n'était pas inquiet sur l'issue des combats qui s'annonçaient, l'armée n'avait jamais été aussi forte et prête au combat.

Il avait l'honneur de faire partie des forces qui lanceraient les premiers assauts. Pas moins de 5 domaines seraient les cibles simultanées de la fureur des troupes de Karaz Rill Karak.

Il descendait avec son unité les marches qu'il avait monté il y a peu de temps et il avait décidé de ne pas regardé en arrière car en ne le faisant pas la providence ferait qu'il reviendrait pour revoir la cité.....

Maître Karak c'était avancé à la lisière de la forêt, quelques centaines de mètres plus loin se trouvait les fortifications adverses, il fallait l'avouer bien maigres défenses en rapport à la puissance des forces qu'il pouvait mobiliser mais il ne pouvait en être autrement.....

Il leva haut sa hache de guerre....et un millier de guerriers s'avancèrent d'un seul bloc en dehors de la protection de la forêt....un peu plus loin chez l'adversaire le tocsin d'alerte sonnait....comme en réponse les cors de guerre de guerre nains résonnaient....

Thorïn était là ,à quelques pas derrière Maître Karak qui tenait haut sa hache de guerre et une fois encore Thorïn ressenti le nom de l'arme: DRON RIK*
Tous frappaient leurs boucliers avec leurs armes et le bruit était était tel le tonnerre dans la montagne.
Un bruit assourdissant qui le remplissait non pas de courage, car il n'en n'avait jamais manqué, mais plutôt d'une fierté immense car lui et ses compagnons d'armes remettaient leurs vie dans les mains du Seigneur Karak.....

Le Seigneur nain baissa son arme et le silence ce fît....



*NDLA: la traduction littérale est Tonnerre du Roi

Le Seigneur Karak faisant montre d'une vélocité insoupçonnable pour un nain de son age courait seul devant tous en direction de l'unique porte qui fermait l'enceinte de rondins qui entourait le village adverse.

Thorïn courrait...Quelques pas derrière son souverain, Thorïn s'efforçait de rattraper celui à qui il ne devait rien arriver de fâcheux, mais rien n'y faisait, lui comme ses compagnons non seulement ne le rattrapais pas mais perdaient même du terrain.
Déjà les défenseurs postés sur le chemin de ronde tiraient flèches après flèches dans leur direction et par deux fois Maître Karak avait levé son bouclier pour repousser un projectile.

Thorïn courrait...il se contentait de courir, peu lui importait sa propre vie, seul le Seigneur Karak avait de l'importance, il ne fallait pas le laisser seul ainsi exposé. Un projectile venait de rebondir sur son casque quand il entendit puis ressentit le passage dans l'air au dessus de lui de milliers de carreaux d'arbalètes.

Thorïn courait... il n'avait point vue les murs se dégarnir sous l'impacte mortelle, mais il remarquait que le tir adverse avait quasiment disparu.
Thorïn courait... et devant lui le Seigneur Karak allait atteindre la porte close....

Le Seigneur Karak arrivait seul devant la porte, il fît les derniers pas en levant sa hache....égrainant les noms de ses illustres ancêtres il frappa la porte
en prononçant les mots secrets ceux ci libérèrent le pouvoir de l'arme et dans un bruit de tonnerre le bois de la porte vola en éclat.

Hommes et nains marquèrent en temps d'arrêt, figés non seulement par l'effet de souffle de la déflagrations mais aussi par la surprise d'un tellement déchainement de puissance.
Une fois la surprise passé des hommes en armes se précipitèrent sur le Seigneur Nain dangereusement seul là où se trouvait quelques instant avant la robuste porte.
Repoussant leurs hallebardes de son bouclier, fendant casques, têtes et membres de sa hache le vieux nain ne se laissait pas repoussé du passage qu'il venait d'ouvrir....

Quelques instants plus tard Thorïn fût le premier à se lancer à son tour dans la bataille: abaissant avec rage son marteau sur le bouclier de son adversaire, celui ci fût légèrement déstabilisé, juste ce qu'il fallait pour
que Thorïn puisse lui asséner un second coup en plein visage mettant fin à la vie de ce misérable. Thorïn était enfin aux cotés de son seigneur et son marteau avait fort à faire car l'ennemie savait que si la porte était perdue
le village entier ne résisterait pas plus longtemps. Mais d'autres guerriers nains se jetaient dans la mêlée et la bataille loin d'être terminée étaient toute fois déjà gagnée...

Rouge avait été la journée, le sang avait coulé, celui des ennemis mais aussi celui du peuple Nain. Les pertes avaient été minimisé grâce à l'intervention du Seigneur Karak sur la porte mais chaque perte était ressentie avec douleur.

Rouge était la nuit, le feu dévorait les constructions ennemies, immenses des flammes dansaient illuminant la plaine sur des centaines de lieux.

Devant le détachement réuni le Seigneur Karak égrenait le nom et la lignée de ceux tombés au cours des combats de la journée, triste litanie qui n'était troublée que par le crépitement du feu....
Mais la guerre ne venait que commencer et l'armée du se remettre en route.

Rouge serait l'aube....

L'elfe était emmitouflé dans une large cape grise, il s'avançait seul sur un cheval de la même couleur, le cavalier et la monture ne semblait ne faire qu'une seule et même personne, il s'arrêtât bien en vue quelques distances devant
devant le bivouac nain. Le Seigneur Karak fût immédiatement prévenu, à la description de l'individu, un sourire fugace se dessina sur ses lèvres puis après avoir pris un petit coffret dans ses bagages il se dirigea seul vers le visiteur.

A son approche, le cavalier baissant la tête présentât ses respects au Maître Nain:
"Noble Seigneur de la montagne dorée, grand par la sagesse de votre cœur et le courage de vos actes, je m'incline devant vous et vous fait savoir que ma Dame et notre peuple vous apporte aide et soutien dans votre destinée..."
Le Seigneur Karak reconnu bien là le parlé chantant des elfes. (NDLA:Il l'appréciait particulièrement d'autant plus qu'il flattait son auguste personne et par là son égo surdimensionné).
"Tout notre respect et notre amitié profondes et sincères vont à votre peuple et sa souveraine..."

L'échange ne dura que quelques minutes, mais comme il s'y attendait le vieux nain, il n'était point seul dans son combat: provisions, ressources et troupes viendraient appuyer ses offensives dans la plus grande discrétion....
Maître Karak remis le petit coffret, cadeau pour la Dame elfe, il s'agissait d'une fleur de montagne qui grâce à une rune gravée sur le coffret, jamais ne flétrirait...un cadeau somptueux!

Cela faisait déjà 5 jours que la guerre avait commencée et Maître Karak menait conseil avec ses officiers, il avait tracé sur le sol la carte représentant la région entre mers et montagnes, des cailloux représentaient les villages et forts, des pomme de pins représentaient les forces ennemies.
La guerre se passait comme le voulait le vieux nain, pris de court la demi-douzaine de domaines visées n'avait pas encore eu le moindre soubresaut de résistance. Mais un seigneur orque avait semble-t-il décidé de ne pas attendre et dirigeai son armée à la rencontre de l'armée de Karaz Rill Karak.
Le Seigneur Karak avait décidé de monter une immense embuscade pour anihiler une bonne fois pour toute cette menace, il avait par le passé combattu les troupes du seigneur de guerre Arkun le défenseur de la perfide et connaissait la valeur que pouvait représenter ces guerriers.
"Vous avez tous vos ordres....allez...."

GROPIF était content d'amener une telle nouvelle à son Big Boss, il sauta de son sanglier pour aller lui dire: "Vot' Grandor les nabots sont enkor tout endormi dans leur kamp!!!"
Le Big Boss TET'D'MUSKLE n'avait pas eu le courage de participer aux grandes batailles de son peuple mener par ses frères de la grande WAAAAGH, il voyait là l'occasion de montrer à ses troupes
que lui était un grand chef de guerre. "allez vou otre on va aller charger à travers ce camps en les massakrant tous....et laissez moi la tête de ce vieux nabot de Karak...."
Comme un fleuve ayant rompu ses digues, la marée verte ce lançât en direction du camps endormis de l'armée naine. au bout de quelques minutes les premiers arrivèrent sur la crête qui dominait le campement,
ils ne s'arrêtèrent pas un instant, ce mettant à hurler en empruntant une trouée dans la forêt qui les mèneraient droit sur les tentes.....tous ce sentaient invincibles....rien ne pourraient les arrêter...

a horde entière était entrain de dévaler la pente, à peine le dernier orque eut passé la crête que les cors de guerre nains retentirent donnant le signal. De chaque cotés des lisères de la forêt surgirent des milliers de carreaux d'arbalètes
puis accompagnant le cri de guerre de Karaz Rill Karak "et notre Devoir de vous servir...." les guerriers nains se lancèrent sur les survivants orques qui déjà étaient désemparés....quelques instant après le Seigneur Karak au cœur de la mêlée faisait roulé dans la poussière
la tête de l'orque TET'D'MUSKLE, GROPIF avait eu moins fin moins glorieuse sa monture ayant transpercé dès les premiers instants par la salves des arbalétriers, il était tombé se fracassant la tête sur un simple rocher....

Thorïn avait combattu sur tout les fronts de cette guerre depuis plusieurs jours, pas une journée n'était passé sans qu'il ne du utiliser sa hache.
Mais là il se trouvait installé sur une dune de sable, scrutant l'océan qui s'étendait devant lui, il aurai pu apprécié ces instants de repos mais il fulminait.
Mais pourquoi avait-il été choisi pour commander ce petit détachement qui devait accueillir 3 navires apportant des ressources d'un allié nain d'une autre île?
Le voilà ici à perdre son temps alors qu'ailleurs l'armée combattait sous la direction de Maître Karak, telles étaient ses pensées en regardant les flots désespérément vides.

La nuit était passé calme et étoilée, quand au petit matin à travers la brume qui c'était levée au premiere rayon du soleil une voile blanche barrée de rouge apparue à quelques
encablures du rivage. Plus le navire approchait de la plage, plus Thorïn remarquait les traces de combats qu'il portait. En quelques minutes le batiment atteignait le rivage.
"HEY du bateau.....je suis Thorïn, fils de Gloïn, je représente Maître Karak, seigneur de Karaz Rill Karak...."
Un nain à la proue lui répondit: "Bonjour Thorïn, fils du valeureux Gloïn....je suis Torgh capitaine de ce misérable rafiot...et serviteur du vénérable Maître Karak"
"vous êtes seul? où sont les Deux autres navires?"
Sautant sur dans l'eau pour rejoindre la plage Torgh lui répondît:
"ha ça....le Valeureux doit se trouver au fond de l'eau.....et je n'ai aucune idée de ce qui a pu arrivé au Courageux"
"Qu'est-il arrivé????"
"c'est une longue histoire.....vous aurriez une pinte de bière????"

a journée c'était passé à décharger le navire et malgrè l'ardeur de chacun, le Capitaine Torgh n'avait pu repartir avec la marée descendante,il se trouvait bloqué là jusqu'à la prochaine.
Thorïn avait renforcé les équipes de guet qui surveillaient les accès à la petite plage et fît ouvrir une barrique de bière pour ceux qui n'étaient pas de garde.
"alors vous la racontez cette longue histoire????"