[GUILDE] LES CARTOGRAPHES DE NAWAKIM

Tandis que vous explorez tranquillement les contrées de Nawakim, vous apercevez au loin une étrange silhouette dans le ciel. Bien malgré vous, vous ne pouvez vous empêcher de la surveiller car non seulement vous avez rarement vu ce genre d’oiseau mais celle-ci se dirige droit sur vous. Vous vous armez d’une des caillasses qui jonche le sol et sortez de votre poche votre poignard de poche dans le cas ou le projectile ne serait pas si dissuasif. Au fur et à mesure que la silhouette s’approche vous en distinguez les formes, il y a deux ailes, ce n’est donc pas une gargouille ou une chauve souris, un long coup … les girafes ne volent pas et ont un plus long coup … ce n’est pas ça … des plumes … un bec crochu … une collerette blanche … un vautour. La méfiance vous gagne, le vautour est un charognard et vous n’êtes pas blessé, soit il y a un cadavre non loin et sont potentiel désosseur non loin soit un mort vivant rode dans les parages, les vautours aimes leur compagnie et ces êtres les acceptes comme animaux de compagnie forts sympathiques. Vous vous stoppez, prêt à user de votre projectile, armez votre bras mais le piaf fait un demi tour soudain et pic vers le sol pour s’y poser. Aurai t il vu votre intension de la canarder, vous demandez vous. Par petits bons successifs d’un ridicule assez comique l’emplumé se rapproche de vous et d’un coup d’aile dont le bruit soudain vous surprend se perche sur un rocher au bord du chemin et se met à vous crier dessus. Ne comprenant pas le langage vautour vous remarquer que la bestiole porte un parchemin. La bête continue de gueuler, vous remarquez un léger détail chez cette dernière, elle louche, un léger filet de bave dégouline du bec et l’oiseau regarde attentivement, ou du moins vous essayer de suivre son regard qui se porte sur la pierre de votre main. Vous la lancer en cloche dans sa direction pour l’effrayer, mais ce dernier vous lance le parchemin, gobe la pierre, la casse de deux trois mastication et l’englouti d’un trait. Surpris par la scène, la méfiance vous donne du mal à détourner votre regard pour le porter sur le parchemin, que ferait ce piaf avec votre tête s’il fait cela avec un caillou ? La curiosité l’emporte et vous briser le sceau du parchemin. Cinq paragraphes se présente à vous dont un seul reste lisible, vous en déduisez que les quatre autres sont dans des langues différentes, vous entamez votre partie de lecture.

Cher ami bonjour,

Avant tout permet moi de me présenter, Sir Dagzdag, voyageur et cartographe. Mon royaume se situe au nord d’Akim car bien que je soit un vagabond il m’est indispensable de garder à porté de main certaine ressources pour me voyages. Tu l’aura vite compris je fait de mon mieux pour ne pas rester en place et je suis toujours attirer par la découverte de nouveaux paysages.

Passons à la suite, mon vautour t’a transmis ce message car je recherche des collaborateurs pour dresser une carte des îles de Nawakim, avec tout les renseignement utiles que l’ont pourra y trouver. Aussi bien les grottes, les ports, les magasins que les bonnes tavernes. J’organise une grande réception dans la salle principale de mon palais, tu y est convié, et, si tu y est présent nous pourrons discuter de tout cela plus amplement.

A bientôt.

Finissant la lettre, la curiosité monte en vous aussi bien sur la découverte de nouveaux horizons que sur l’identité de ce mystérieux Dagzdag et poussé par ce vilain défaut vous vous mettez en route en direction de son palais. Vous jetez un dernier regards sur l’oiseau qui vous fixe des ses yeux tordu, un filet de bave dégoulinant encore du bec, vous vous mettez en route et le piaf vous suit par petit saut successifs et en cherchant une indication pour votre route sur la missive vous y apercevez un post scriptum.

PS : En finissant cette lettre donne la à Sqwkirk, ou sinon tu ne temps débarrassera pas.

Abaissant le parchemin pour voir l’oiseau ce dernier reste stoïque fixant attentivement le papier, bavant à foison. Vous l’enrouler et le lancez, Sqwkirk l’attrape au vol et l’avale après une brève mastication.

Après plusieurs jours de marche, une immense porte se tient devant vous, vous la poussez pour pénétrer dans la forteresse et à votre plus grande surprise l’intérieure du château est décoré de toute sorte d’objet tous plus exotique les uns que les autres. Une silhouette s’approche de vous, son visage est masqué d’un voile blanc qui semble ne faire qu’un avec sa tenu, une longue robe blanche masquant ses jambes terminée aux mains par des gants de soie. D’une voie douce, enchantée et très féminine elle vous parle.

« Puis vous être utile ? »
« Oui … je viens voir Sir Dagzdag, suite à sa missive ! »
« Ah, je vois, si vous voulez bien me suivre, il est actuellement dans son office, nous ne vous attendions pas de ci tôt. »
« La missive parlait d’une grande réception pourtant. »
« C’est exact, mais vous êtes le seul arrivé jusqu’ici pour le moment et nous détestons faire du gaspillage. »

Déambulant dans les couloirs du château ou il vous semble faire des détours interminable vous restez subjuguer par la grâce que porte votre guide, une démarche des plus pacifique et qui inspire toute confiance … toute confiance si elle n’avait pas fait un détour pour, selon vous, vous induire en erreur en cas de fuite précipitée.

« Pourquoi n’avons-nous pas pris directement à droite à la salle d’arme pour arriver jusqu’ici ? » Lancez vous sur un ton des plus déplaisant.
« Je vois que vous avez un sens aigu de l’orientation, cela pourra nous aider dans la visite de certaine grotte, vous répond votre guide sur un ton des plus calme qui à l’audace de vous agacer encore plus. Voyez vous, continue elle, Dagzdag est une personne très discrète et très méfiante, beaucoup de personnes l’ont rejetés avant même de le connaître.En vous faisant faire des détours je vous évite certaine pièces où mon mari expose des œuvres qui lui sont très personnelles. »
« Votre mari ? »
« Excusez moi je viens de m’apercevoir que je ne me suis pas présentée, je suis Hera, je suis la femme de Dagzdag. »
« C’est moi qui m’excuse je vous ai pris pour un domestique, c’est plutôt inhabituel de faire le tour du propriétaire avec le propriétaire lui-même. D’ailleurs ce qui me choque le plus, c’est que je n’en vois pas un seul, et pourtant tout ici est parfaitement bien entretenu. »
« Lorsque vous rentrez ici, le temps s’arrête … »
« Pardon ? »
« Oui, tout s’arrête sauf le monde extérieur. »
« Mais alors vous posséder une jeunesse éternelle tant que vous restez ici ! »
« La jeunesse éternelle ne servirai à rien, ni à vous ni à nous, vous vivrez mais serait prisonnier de ces murs et quand bien même vous tenterez de sortir le bout de votre nez à l’extérieur le temps rattrapera son œuvre et vous décomposera naturellement. Pour un cartographe tel que mon mari, il serait dommage de rester cloîtré. »
« Je vois, en passant aux abords d’une fenêtre vous distinguez un vive lumière rouge au coin d’une colline, à quelque lieu du château, qu’est ce cela ? »
« Sans doute des villageois en colère … »
« Sa se rapproche ! »
« Sans doute sommes nous la cause de leur colère. »
« Si vous le dites, lancez vous en ricanant. »

Votre hôte s’arrête devant une grande porte de bois qui semble être faite d’une seule pièce, elle la pousse, vous entrez alors dans un bureau où tout les mur son recouvert d’un grande bibliothèque, plusieurs parchemin traîne au sol et des esquisse de cartes sont à moitié déposé les unes sur les autres sur une table. Au fond de la pièce se trouve un bureau ou vous distinguez une personne la tête dessus, ronflant généreusement. Les cheveux grisonnant sont les seul détail que vous parvenez à décrire chez lui.

« Est-ce lui ? »
« Pardonnez le, il a du s’endormir en plein travail. Je vais le réveiller, restez ici. »

Vous acquiescez, et tandis qu’Hera se rapproche de son époux vous jetez un coup d’œil à l’importante collection de livre, rien que pour les lires et au vu du cuir chevelu de votre hôte vous essayer de calculer l’age de ce dernier … très vieux … vous craignez légèrement le fait de faire les globe-trotters avec un sénile. Hera était maintenant proche de Dagzdag, elle posa la main sur son dos qui le fit cesser de ronfler, elle se pencha vers lui et lui murmura à l’oreille. Dans un sursaut Dagzdag se leva précipitamment renversant la chandelle qui éclairait le fond du bureau le baignant ainsi dans une épaisse pénombre. D’un coup de pieds vif Hera l’écrasa pour préserver le tapis déjà troué de plusieurs brûlures de ce genre.

« Pardonnez moi cher ami, je suis si impoli, vous lance Dagzdag avec une voix qui vous choque par son tonus et sa jeunesse. »
« Je vous en pris, nous subissons tous les ravages du temps. »
« Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Pas moi cher ami, pas moi, rétorque Dagzdag s’approchant de vous. »

La pénombre recouvre encore le bureau, seule les chandelles de l’entrée vous éclaire, Dagzdag s’approche de vous et vous tend une main ganté pour serrez la votre que vous vous empressez d’empoigner en tirant légèrement vers vous pour apporter de la lumière à votre hôte. La première chose à laquelle vous pensez lorsque vous l’apercevez est de vous souvenir par où êtes vous êtes passé pour venir jusqu’ici et de trouver un raccourci vers la sortie. Au diable la réflexion, vous empoigner votre poignard et le plantez dans le plexus de votre hôte. Dagzdag serrant encore votre main, n’a pas l’air surpris, il vous libère de son emprise et recul lentement laissant sortir légèrement le poignard. Hera dans le fond de la pièce, rallume la chandelle après avoir réussi à trouver tant bien que mal dans la pénombre de quoi la rallumer et tombe des nues face à ce spectacle. La lumière dévoile alors Dagzdag dans sa totalité, ses mains gantées terminent des bras revêtus d’une chemise de coton blanc et ses jambes transporte un pantalon très soyeux qui semble par ailleurs très confortable au niveau de l’entrejambe. Seule sa tête squelettique et décomposée apparaît précédée d’un coup dans le même état, vous êtes face et dans l’antre d’un mangeur de chaire, un mort vivant. Ils ont certainement tout prévu vous êtes déjà au cœur du piège, vous vous préparez à combattre.

« En voila des manières de saluer votre hôte, après tout les voyage que j’ai effectué dans le monde je ne connaissez pas ce salut. »
« Meurt … monstre ! Lui lancez vous. »
« Techniquement je suis déjà mort, et si être un monstre signifie être différent vous en êtes un pour moi aussi ! »

Hera s’interpose alors entre vous.

« Cessez ces gaminerie messieurs ! »

Vous la repoussez violement contre le mur et engagez le combat contre Dagzdag. Ils sont deux, vous ne voulez pas utiliser toute vos ressource et conservez votre mana pour plus tard, de part l’allure de Dagzdag vous pensez qu’il n’est pas magicien, mais vous ne connaissez rien d’Hera, vous n’utiliser que votre poignard solidement tenu. Dagzdag ne contre attaque pas mais semble juste éviter vos attaque, à ce rythme vous l’aurez dépecer d’ici peu car la majeure partie de vous coup le touche et le blesse. D’un formidable coup de pied il vous ejecte à trois mètre de lui. Il ne faut pas qu’il se repose vous dites vous vous retournez à l’assaut mais êtes stoppé par un étrange phénomène, les blessure du mort vivant se referme et cicatrise. Vous vous retournez et apercevez Hera entouré d’un halo blanc.

« Vous comprenez ? Vous demande Dagzdag»
« … »
« Vous n’arriverez à rien contre nous, non seulement je me régénère automatiquement mais en plus mon épouse me soigne, et tant que je serai là vous ne pourrai pas la toucher. Vous n’êtes pas dans un piège, le message que je vous ai envoyé n’était pas une ruse pour vous attirer ici. Je suis pacifique et je ne recherche que de l’aide pour explorer Nawakim. »
« Beaucoup de personne ont cette réaction, vous explique Hera, mais si nous sommes attaqués nous nous défendons, quoi de plus naturel ? Si je vous ai fait faire des détours pour venir jusqu’ici c’est pour vous évitez certaines galerie d’art plutôt crues, qui peuvent choquer. »
« Vous … vous … vous n’êtes pas comme les autres ? »
« Les autres, comme vous dites, vous les avez suffisamment persécuté pour qu’il vous dévore d’une traite à votre vue. J’ai été aussi comme cela, mais Hera m’a rendu ainsi. Voyez vous contrairement à elle je n’ai aucun souvenir de ma vie antérieure, et petit à petit certaine bribes reviennent grâce à son savoir. La chaire humaine crue ne ressemble en rien à un bon plat savamment cuisiné par une personne qui vous est chère, on s’en lasse très vite. Vous n’avez pas à avoir peur de nous, allons dans le vestibule je vous présenterai notre projet. »

Vous vous résignez à le suivre en rangeant votre poignard mais en gardant la main dessus. En passant près d’une fenêtre vous pouvez enfin mettre une identité sur l’épaisse lumière rouge qui maintenant est aux portes du château. Une foule de villageois semble bien décidée à en découdre avec le propriétaire des murs et se lance à l’assaut de ces derniers armés de torche.

« Barrez vous bande de naze ! « Leur cri Dagzdag»
« Inconscients ! Fuyez tant qu’il est temps ! Hurle Hera »
« Sorcièèèèèèèèèèère ! Démooooooooooooon ! Leur riposte les villageois. »
« Bon … tant pis pour eux, ils vont tous mourir ici, se désole Dagzdag. »
« Qu’allez vous faire ? Demandez vous. »
« Moi ? … Rien ! Voyez vous mon palais est entouré de bosquets, et ces bosquets regorge de monstres en tout genre, tant qu’ils on leur torche allumé il ne craigne rien sauf les blobs et les efrits. Ici il n’y a pas d’efrits par contre c’est bourré de blobs et aux vues du bazar qu’ils font et de l’agitation des buissons ils n’en n’ont plus pour longtemps. »

Aussitôt sa phrase terminé les villageois prirent conscience qu’il étaient entourés de blobs affamé. Hormis quelque cri rapidement étouffé par une épaisse gélatine le début de soirée fut très calme. Dgazdag vous guide alors vers le vestibule et vous dit.

« Bienvenu dans le centre névralgique de la guilde des cartographes de Nawakim, les présentation sont faites pour nous. Pour ce qui est de la guilde nous sommes en premiers lieux pacifiques et n’engageons aucun combat sauf organisé par les arènes ou pour une vengeance. Nous ne rejoindrons aucuns conflits, bataille ou guerre. Nous sommes uniquement là pour explorer chaque recoin de chaque île de Nawakim et d’en dresser une carte. Le registre des membres de la guilde est sur la table et la sortie est derrière vous. Soit vous signez et vous faites partie intégrante de notre association, nous vous écouterons alors vous présenter, soit vous sortez et qui sait nous nous retrouverons sans doute lors d’un de mes voyages. A vous de choisir ce qui vous convient le mieux. »

Après un bref instant de réflexion vous …

Les cartographes de Nawakim ne participe à aucuns conflis.



Les seules conflis autorisé sont ceux organisés par l'arène des gladiateurs ou ceux organisés dans le cadre d'une vengeance.



Respecter scrupuleusement la règle 1 et la règle 2.



Si vous voulez intégrer la guilde merci de le faire dans l'optique RP de la présentation.



Si vous ne voulez pas intégrer la guilde et que vous voulez l'exprimer, merci de le faire dans l'optique RP de la présentation.



Partager vos informations avec toute la guilde.



Préparer vous à faire du donjon et à beaucoup marcher

Sir Dagzdag se n'ai pas pour vous interdire de finir votre quête mais si vous ne trouvez aucun associé vous pourriez venir dans ma guilde.

Avec toute mes salutations
Alix63

excellent rp !!
Je serais flatté de vous acceuillir dans hellhammer avec fonction de sous cchef et de bras droit !