Pendant ce temps sur Yakim ...

Il était maintenant 14 heures, il était temps de partir. Tout était prêt. Elle ne porterait ni son armure de guerrière ni les armoiries de la maison B'ELANNAË aujourd'hui. Elle se regarda devant le miroir, décidément cette robe couleur pourpre agrémenté de dorures sur les manches et le bas de la robe ne lui plaisait pas mais les circonstance l'exigeait... Elle attrapa sa besace et mit les vêtements et les accessoires de petite fille des couleurs exigées par l'empereur l'usurpateur, ainsi que deux objets supplémentaires pour Dame Gizaos... Elle se dirigea à l'écurie où l'attendaient deux hommes portant eux aussi les couleurs exigées par un dément... Elle émit un éclat de rire sonore en voyant ainsi habillés le capitaine Guilmaaho et son lieutenant Sölmaaz... C'était la première fois qu'elle les voyait en civil... Les vêtements de riches marchants feraient bien l'affaire... Elle entra dans la calèche accompagnée des deux hommes...

Le voyage fut long vers la capitale de Yakim, elle se remémora les événements qui avait suivis l'arrestation du pauvre petit Thierry... Dame Gizaos était venue la veille lui demander de l'aide pour le petit Thierry, elle avait trouvé un moyen et un allié inattendu pour le délivrer... La princesse suivit donc les instructions et se rendit avec ses deux acolytes déguisés vers le RDV fixé par Dame Giazos dans une Taverne nommée jadis "A l'Ecume Amer". Ils arrivèrent enfin dans la capitale. La calèche resta en retrait. La Princesse accompagnée de Guilmaaho et Sölmaaz s'engouffrèrent dans la ruelle qui les menèrent à la Taverne... Ils entrèrent à l'intérieur et attendirent...

Les cloches sonnaient maintenant 17heures, lorsque Dame Gizaos entra enfin suivi de près d'un petit garçon mal en point... La Princesse et la magicienne entreprirent de laver et de préparer Thierry, en fille pour passer inaperçu sachant que dès l'alerte donnée sur son évasion, les gardes impériaux seraient immédiatement à la recherche du fugitif...

Observant Dame Gizaos, elle lui tendit une perruque blonde, la chevelure en main Gizaos la posa sur sa tête. L'ajustant au mieux Aërynsun retint un éclat de rire :

- « Voilà qui fera l'affaire ! ! ! »

Elle lui présenta Guilmaaho qui devait de faire passer pour son époux... Le capitaine, Dame Gizaos et le petit Thierry, déguisé en petite fille, devaient passer pour une famille de haute société venue pour affaire dans la capitale, accompagné d'un couple d'amis Aërynsun et Solmaaz... Jaugeant l'ensemble elle parut satisfaite.

- « Nous devons nous hâter, nous avons peu de temps devant nous... Allons y ! »

Ils sortirent de la Taverne en ruine et se dirigèrent vers la grande place. Ils passèrent vers des gardes qui les observaient, le petit Thierry, dans sa robe de fille, prit peur, mais la main bienveillante d'une mère aimante le rassura... Il essaya de se concentrer sur le regard de Dame Gizaos, Guilmaaho feint de prendre sa fausse femme dans ses bras pour leurrer les gardes devenant un peu trop curieux... Les soldats gardes continuèrent leur chemin ne trouvant rien de suspect dans leur comportement, de plus pour eux, cette famille était conforme au règlement du décret établit par leur empereur... Aërynsun et Sölmaaz suivaient la famille un peu en retrait...

Ils montèrent tous dans la calèche qui de dirigea vers le port de Yakim... Tout se déroula comme prévue... Aërynsun informa sa sœur de cœur qu'elle avait trouvé une famille qui accueillerait le petit Thierry, mais sur une autre île, pour sa sécurité... C'était une bonne famille aisée qui désirait l'adopter, il serait ainsi à l'abri de toute persécution...

La calèche arriva enfin au port où un bateau était près à partir... Ils descendirent du véhicule et se dirigèrent à l'embarcation où les attendaient un couple... Dame Gizaos eut le cœur serré, elle s'était déjà attachée au jeune garçon, si coupable de sa destinée...

Les présentations furent faites, ainsi que des adieux touchant pour certains... Dame Gizaos resta un moment seul avec le petit Thierry, une longue étreinte, stoppée par la sirène du bateau indiquant son départ imminent... Le garçon, toujours déguisé en fille, entouré par le couple, embarqua à bord du bateau pour une destination secrète que dont seules les sœurs de cœur connaissaient la destination.

Regardant le bateau s'éloigner, une larme perlait à présent sur la joue de Dame Gizaos. Elle se tourna vers Aërynsun, souriante comme toujours. Ensemble, elles s'en retournèrent persuadées que le garçon serait désormais à l'abri du fou qui dirigeait actuellement Yakim...

L’empereur était furieux, il ne savait plus pourquoi mais il enrageait ! Regardant par la nouvelle fenêtre de son bureau, il aperçu une foule nombreuse qui vaquait à ses occupations, tout d’or et de pourpre vêtu. L’hypocrisie de ces gens l’énervait encore plus et il cria à son secrétaire :

Vous m’en arrêtez quelques dizaines pour que je puisse me défouler un peu ! Et vite !

Le secrétaire sorti avec précipitation, aidé en cela par le coup de pied magistrale qu’il reçu dans son postérieur. L’empereur pu alors apprécier de sa fenêtre des hordes de gardes déferlés sur les passants pour les emprisonner arbitrairement.

Rejoignant en toute hâte son maitre assassin, l’empereur pénétra dans la nouvelle salle de torture. Là, les 54 personnes arrêtées étaient enchainées. Il prit alors la plus grosse pince qu’il trouva et s’amusa et arracher méthodiquement tous les doigts de sa première victime au son de ses hurlements. Le maitre assassin qui travaillait à coté de lui à percé les yeux à un autre martyrisé grâce à une épingle d’argent, lui demanda alors ce qu’il avait fait du petit Thierry.

- Comme ca qu’est-ce que j’en ai fait ???? Il est toujours dans votre bureau non ?

- Heu … permettait moi de vous contredire mais je vous rappelle que vous êtes venu le cherché vous-même il y a peu …

- Quoi !!!

Et il ponctu ces paroles en enfoncant durement la pince dans le cœur du torturé.

Quelle ai encore cette fumisterie ??

Il défonça alors la porte du bureau et se rua dans la chambre de torture attenante.

Ou est-il ??? Ou est cet idiot ? Qu’en a tu fait idiot ? Faut il que je sois toujours entouré d’incompétents ?

Et prés l’avoir secoué tel un poirier, l’empereur s’enferma dans sa chambre. Et durant plusieurs heures, le palais entier résonna des hurlements de folie de l’empereur.

Après son coup d’éclat, le maitre espion savait que la vérité allait éclater au grand jour d’ici peu. Et c’est tremblant dans sa chambre qu’il reçu la convocation d’urgence de l'empereur.

C'est donc à reculons qu’il se présenta devant lui, certain que sa dernière heure avait sonnée. Mais c’est fort étonné qu’il trouva son empereur plutôt calme pour un sanguinaire qui s’apprêtait à la saigner à blanc.

A vous voila ! Asseyiez vous vite ! Vous avez entendu parler de l’évasion de Thierry j’imagine ? Et je vous demandes tout simplement : comment cela est-ce possible ?

Le maitre espion ayant préparé des faux documents avant l’entrevue, en montra un qui stipulait clairement qu’il avait prévenu le maitre assassin quelques jours auparavant d’une tentative d’évasion du détenu 000 ; ce qui le disculpait entiérement. Il en avait également placé un dans les nombreux dossier du maitre assassin.

L’empereur le lui arracha des mains et le regarda avec attention.

Nous tirerons cela au clair plus tard ...

Un soldat s'avança pour menotter la Princesse Aërynsun, mais celle-ci lui asséna un bon coup de poing au visage . Elle assomma celui qui s'apprétait à attacher Dame Gizaos. L'elfe saisit la magicienne par le bras, l'entraîna dans son sillage, et traversant la baie vitrée dans une gigantesque éclat de verre, elles s'enfuirent... A l'extérieur une trentaine de soldats les attendaient épées au poings... Leur fuite était compromise, elles ne pouvaient lutter.

« Au nom de l'empereur !!! Rendez-vous sur le champ et sans concession, ou nous vous abattrons !!! Archeeeeerrsss !!! » sous le commandement de l'Officier, une vingtaine d'archers attendaient un signe de main pour faire siffler leurs arcs...

La Princesse Aërynsun dégaina son épée pour combattre, mais la Magicienne vint poser sa main sur son épaule. L'elfe regarda sa soeur de coeur dans les yeux et elle sut ce que l'humaine désirait. Dame Gizaos était sereinne, trop de sang avait coulé inutilement... Elle posa son sceptre au sol, invitant son amie à faire de même. Dans un grognement rageur, Aërynsun planta son épée en terre et jeta ses armes blanches visibles et invisibles.

Un soldat s'avançait... ligotant la magicienne et la jetant dans une carriole en partence pour la capitale. Deux autres hommes de la même troupe s'approchèrent avec précaution vers l'elfe qui les fusillait du regard. Le sous-officier qui leur avait adressé la parole un peu plus tot, dans la boutique impériale, s'approcha d'elle par derrière, et lui asséna un violent coup sur la tête du plat de son épée. La Princesse Aërynsun s'écroula aux pieds des deux soldats, inerte...

« Attachez-moi ça et jetez-la en la cage !!! Nous avons assez perdu de temps comme ça !!!! Vous , dit il en
pointant du doigt un soldat inactif, rassemblez les armes des captives !!! Et conduisez les à la prison impériale !!!Vous autres, ramenez-moi dix hommes et dix femmes peu m'importe qui !!! Et activez vous !!! » hurla le Sous-Officier.

Tous s'agitèrent en tous sens, exécutant les ordres donnés, ramassant les armes et chargeant sans ménagement la princesse restée inconsciente dans la même carriole que son amie magicienne. Le reste des soldats revint avec dix hommes et dix femmes, enchaînés par le cou, humiliés....

« Bien! Parfait !!! Attachez-les tous à la carriole !!! Ils marcheront !!! Retournons au Château de l'Empereur !!! L'heure de la livraison approche !!! Et cette fois nous lui apporteront deux mets de choix supplémentaires... !!! HA HA HA HA HA !!! » hurla l'Officier

Le départ fut donné, tous se dirigèrent au château de l'empereur. L'Officier en tête suivit de quelques hommes de main, au milieu du cortège la carriole tirait la vingtaine de prisonniers attachés les un aux autres, comme des bêtes et pour finir, le Sous-Officier avec le reste des soldats.

Dans la cage, posée sur la carriole appelée aussi « chariot prison », Dame Gizaos tenait dans ses bras la Princesse Aërynsun restée inconsciente. La Magicienne fouilla dans sa besace, prit une fiole de potion, lui fit boire une gorgée qui soigna sa blessure à la tête. L'elfe ouvrit enfin les yeux au grand soulagement de l'humaine. La Princesse s'assit en tailleur et massa sa nuque endolorie.

Ils arrivèrent enfin au château de l'empereur C1secret, le coucher de soleil indicait l'heure tardive, l'air humide annonçait une nuit fraîche... Un groupe de soldats dirigea les vingts prisonniers dans les cachots au fin fond des oubliettes du châteaux.

L'elfe et l'humaine descendirent du chariot, suivirent l'Officier ainsi que le Sous-Officier dans la prison secrête à l'intérieur de l'enceinte du Château. Ils traversérent d'interminables couloirs tel un labyrinthe. Ils continuèrent leur chemin qui menait à un cul de sac, mais l'Officier avançait toujours. Il s'arrêta devant le mur face à lui... L'Officier et le Sous-Officier abaissèrent simultanément les branches de chandeliers posés sur deux colonnes entourant le portrait de l'Empereur qui ornait le mur. La fresque representait C1secret dans toute sa splendeur. L'action simultanée sur les chandeliers avait actionné le mécanisme ouvrant cette porte secrete fondue dans un triste tableau... L'Officier entra le premier suivit des deux femmes. Ils marchèrent encore longtement, empreuntant divers couloirs pour les mener enfin à la prison secrète du Château de l'empereur de C1secret.

Dame Gizaos & la Princesse Aërynsun furent jetées dans le cachot sombre et lugubre... Les grilles se refermaient déjà derrieres elles...

Une semaine ...
Cela faisait bientot une semaine entiére que l'empereur les avait dans ses geoles.
Il devait absolument trouvé une solution rapide !

Mais aërynsun et Gizaos étaient bien trop puissantes pour les faire disparaitre mais bien trop dangereuse pour les libérer !

Ahhh ! Quel dilemne !

Il fracassa alors son poingt sur le mur et le traversa de part et d'autre !

Il enrageait !

Cela va bientot faire une semaine que Gizaos et aërynsun était emprisoné mais l'empereur ne lui avait toujours pas donné la permission de les torturer ! Pire même !! Il les avait fait transféré dans des appartements luxueux gardés jours et nuits !

Ohhh ! Il trouverait bien un moyen !

Son plan était enfin pret ! Il lui avait fallut presque une semaine pour corrompre les gardes et tout mettre en place mais enfin, ca y est !

Pendant ces longs jours, il avait fait entendre raison à l'empereur sur la nécéssité de modérer les deux prisonniéres à cause de leur puissance et avait même réussit à les faire transférer dans des quartiers plus confortables.

Mais maintenant, il est l'heure de passer à l'action !

Une brindille craqua ! aërynsun se retourna en vitesse et fit face à la source du bruit en dégageant avec habilité son couteau.

C’est moi, Gizaos ! Lui cria-t-elle en sortant du buisson tout proche.

aërynsun, rassuré, rangea avec délicatesse son couteau dans son étui. Puis, elle lui pris des mains les différentes plantes qu’elle avait récupérait dans la foret et les plongea aussitôt dans la marmite au milieu du campement.

Elles s’installèrent alors autour du feu et patientèrent en bavardant que la potion soit prête.

Ce n’est plus possible de continuer comme ca ! se plaignit aërynsun. Il faut absolument rejoindre ton château !

Tu sais très bien que les troupes de l’Infâme en coupe toutes les routes ! Que nous ayons évitez ses patrouilles depuis une semaine est déjà un exploit !

Un gémissement lointain les tira de leur conversation.

Vite il s’est réveillé, va chercher de l’eau ! s’exclama Gizaos

aërynsun s’empara d’une petite coupelle et la plongea dans la rivière toute proche avant de l’apporter à Gizaos qui se trouvait maintenant prés du mourant.

On avait peine à le reconnaitre tant il avait changé. La blessure qu’il avait reçut au torse pendant l’évasion s’était infecté car les gardes du palais avait pour habitude de tremper leur armes dans du poison. Depuis, les deux femmes se tenait au chevet de leur libérateur et essayé de guérir par les moyens du bord une maladie incurable.

Le maitre espion toussa de nouveau un peu de sang et Gizaos en profita pour le faire boire l’eau et la potion préparé en ce but. Elles savaient qu’il n’en avait plus pour longtemps et pourtant elles persévéraient, ignorant même par la leur blessure mal cicatrisées. Seul l’espoir les faisait survivre car elles savaient qu’à moins d’un miracle, les troupes de l’empereur allaient les retrouver et les tuer

Il passa une partie de ses troupe en revu avec colère.

Cela faisait bientôt une semaine que ses hommes ratissaient les champs et les forets pour les retrouver mais rien ! Pas un seul indice. Elles s’étaient volatilisaient ! Il avait pourtant fait fermer toutes les routes de l’empire et envoyé tous les espions survivant de la purge qui avait suivit la trahison de leur chef.

Mais il allait les retrouver ! Et leur torture sera encore plus terrible ! Quitte à bruler l’empire !

Il pleura encore une fois. Le corps brulant de fièvre, il n’avait rien mangé depuis une semaine et il avait comme pris 20 ans. Déjà apparaissait des cheveux blancs sur ses temps et son corps maigrissait à vu d’œil.

Il savait son amant mourant et cela le tuait également. Aucune potions que l’avait obligé à prendre les médecins, aucun sortilèges ne pouvais faire quoi que ce soit.

On toqua à la porte.

Oui ? Entre vite !

L’espion entra avec une discrétion caractéristique de son métier. Il déposa avec délicatesse le dossier qu’il portait sous son bras sur le bureau d’Aerandir et s’en alla.

Aerandir s’assit alors et pris le dossier avec une très grande angoisse. Il ne contenait pas moins que les preuves de la culpabilité de l’empereur ou non dans la mort de son amant. Il avait été effectivement retrouvé mort dans la forêt par l’armée de son père.

Il essaya alors d’ouvrir le dossier mais ne pu aller plus loin et le jeta sur le bureau en pleurant.

Après quelques instants pour se calmer, Aerandir repris le dossier et l’ouvrit, tremblant, à la première page. Et là, horrifié dès les premières lignes, il ne pu s’empêcher de lire jusqu'à la dernière page. Il reposa alors le dossier et s’en alla vomir de dégout dans un coin de la pièce. Les yeux rouges tellement il avait pleuré, il se précipita dans le bureau de son père qui devait revenir seulement le soir.

Puissant dans des réserve de magie insoupçonnées que la haine avait libéré, il brisa d’un coup de main les protections magiques que l’Empereur avait mit tant de temps à construire et il défonça la porte.

Il entra alors dans un bureau comme toujours immaculé et se dirigea à grands pas vers son bureau où l’empereur avait caché ses documents sensibles. Il ouvrit ave forces tous les tiroirs et commença à les feuilleter.

Quelques instants plus tard, c’est un fils encore plus haineux qui enfourcha son cheval pour partir à la recherche de son père. A bride abattu, il chevaucha en aidant grâce à la magie son cheval à ne pas mourir.

Il allait le tuer ! Lui l’assassin de millions de personnes dans l’Empire, le commanditaire de tant d’assassinat, le grand fournisseur en bois de la guerre de l’Orclandiish et de tant d’autres conflits, et surtout et avant tout, l’assassin le son amant !! Oui, il allait mourir !

L’empereur sentit l’approche de son fils bien avant de le voir et se retourna pour le saluer et lui demander ce qu’il faisait là.

En réponse, il fut soulever par une force titanesque et s’écrasa contre un arbre. Avant d’avoir pu reprendre ses esprits, il fut une deuxième puis une troisième fois projeter au travers de la clairière.

Il se relava en sang il fit face à un fils que la rage avait défiguré. Il pensa alors à faire appel aux gardes qui l’accompagné mais un simple regard lui suffit pour les découvrir désarticulés sur le coté.

Il essaya de rassembler ses forces mais rien ne pouvait contrer une telle haine.

TU L’AS TUE !!!!!

Il fut soulevé une nouvelle fois de terre mais resta en lévitation devant son fils qui, de coups de poing, le frappa encore et encore.

L’empereur sentis alors sa vie s’envoler et ses derniers mots furent pour un fils qu'il avait perdu : Je t’aime

HRP : maintenant que c1secret et mort, c'est son fils qui prend le pouvoir, aussi, je demande à ce que le nom soit changé.