Retour au Culte par la force

Dante, d'une longue robe blanche vêtu,une étoffe de soie bleu marine fermant son habit,la barbe soigneusement arrangée en trois tresses aux bouts desquelles pendait à chacune, la masse tombantes, un petit marteaux d'argent parcouru de veine de diamants, se dressait face à la foule depuis l'avant-toit d'ardoise de palais impériale. Les bras ouvert, le visage fendu par un sourire impatient il l'ança d'une voix puissante, levant le poing.

TAMERS!!!

La foule lui répondit avec plus de vigueur qu'il ne le pensait et il du faire un signe de main pour obtenir le silence. Tous ici n'était certes pas ces fidèles compagnons de guildes, mais tous attendaient l'annonce avec impatience.

Une idées m'est venue...

JE VOUS LANCE UN DEFIS!!!!

Il est bientôt temps de prouver au monde notre force, notre vaillance et notre bravoure!

Mais...
Je ne suis pas suicidaire et ne veux pas une guilde de Kamikaze...DONC

Avant de prouver au monde votre noblesse d'âme et de cœur vous devrez faire vos preuves devant moi...


Pendant trop longtemps, les arènes on été dominée par des hommes des nains ou des canards qui ne se battaient que par plaisir du sang, par désir de gloire...
QUELLE HONTE

Nous, les Tamers Of Evils, par la pratique du Culte Dantesque connaissons la véritable origine de la création de l'arène.
Le combat originel entre le Gladiateur et les Dents de Sabres représentais la supériorité des Hommes, des Elfes, des Nains, des Orcs Nobles et des Revenant face aux Horreurs qui on peuplé les Iles de Nawakim. C'était la victoire de l'Être bon doué de la sagesse sur les immondes bassesses rampante.
Mais des Êtres supérieurs ont voulus instaurer c'est sottes compétition affin d'exhiber leur force! Ils ont sali le Culte des Merveilleuses Créatures, ils l'ont mué en une orgueilleuse et cupide lutte pour la gloire.

TREVE DE PAROLES!
Nous l'emporteront! Nous perpétueront le Culte! Il n'y a plus de Tigres? Hé bien il y a des Orcs et des Elfs a hacher, des Homme à farcir et des Canards à rôtire!
Afin de rappeler au monde le Culte Vrai, mes amis, Chasseurs de Diable... Vous GRAVEZ VOS NOM 7 SOIRS D'AFFILIÉE AU SOMMETS DE LA PIERRE DES CONQUÉRANTS!

La princesse Aërynsun entra encore dans l'arène, ce n'était pas la première fois qu'elle entrait dans ce lieu de violence... Tous ici présent désirait la victoire... De nombreux cadavres jonchaient le sol, il fallait même les enjamber... Elle marcha tranquillement et regarda les un et les autres s'entretuer dans une bataille épique sanglante... Tous se battaient vaillamment, certains ou certaines plus que d'autres...

La princesse se promenait tranquillement dans l'arène baissant le tête parfois pour éviter un coup... Elle avait demandé à Sir Alumess de lui faire visiter ce lieu de bataille sanglante où tous se battaient avec témérité pour la première place devant une foule en délire... Elle savait qu'elle ne craindrait rien, Sir Alumess la protègerait au préril de sa vie... Puis tout d'un coup plus d'adversaire... Tous vaincus ci et là, les derniers restant vaincu par Sir Alumess... Il ne doit en rester qu'un tel est la loi de l'arène...

Sir Alumess ensanglanté s'avança vers la Princesse mit un genou à terre , présentant son arme rougie par le sang de ses adversaire

- " c'est ton tour Aërynsun tue-moi et va graver ton nom au sommet de la montagne de cadavre pour écrire ton nom au sommet de la pierre, en tête de nos futures victoires... "

- " ?!? Quoi mais non Alumess je ne peux te tuer voyons "

- " Si tu vas le faire sinon je ne répond plus de moi... Tu le sais Aërynsun de quoi je suis capable !"

- " ?!? Alumess Rhabilles-toi immédiatement sinon... "

- " Que vas-tu chercher là jeune fille ?!? Pour qui me prends-tu ?!? Je ne fais uniquement cela pour que tu me tues rapidement sinon c'est moi qui te tuerais lorsque ton bras me frappera... "

Il s'avança vers la princesse sans armures, sans armes pour recevoir le coup de grâce... Mais la Princesse s'y refusa, alors Sir Alumess comprenant la situation la saisie par le bras pour lui faire peur...

Dans un pur réflexe la Princesse lui décrocha un coup de hache pour le faire lacher prise, mais celui-ci tenait bon... Une lutte acharnée s'en suivit blessant l'un et l'autre, puis dans un dernier effort Aërynsun lui donna le coup de grâce tant attendu par Sir Alumess..

La jeune guerrière regarda s'écrouler son ami les larmes yeux... Lui donna un baiser sur le font, puis alla faire ce qu'elle devait...

Elle gravit la montagne de cadavre et alla graver sur la pierre son nom en toute lettre, en tête de nos futures victoires... La voix de Dante résonna dans sa tête...

Spoiler:

**Assise sur un tas de cadavre**
Il est simple d'envoyer alumess messire...Je n'est que alumess et aerynsun qui viennent en arène dans votre sympathique guilde...Vous vous pensez puissant?Je le dit haut est fort: a part alumess personne ne peut me vaincre!
Vous voulez voir de la force?Je vous attend Dante dans l'arene quand vous voulez et même en dehors et même quand je fais mes courses...Vous ne vous en relèverez pas.

Le visage sombre, Dante se tenait face à la valeureuse guerrière. La tête penchée en arrière il pénétra le regard de la valeureuse guerrière.

La hache qui volait entre mes doigts a cédé sa place au bâton de Apen Tidaal depuis bien longtemps. Si défoncer le crâne d'un prêtre peu vous soulager on peu en rediscuter, mais il n'y a nul gloire en cet acte.
Quant à alumess je ne le pensais pas si motivé. Je ne m'attendais pas a cette campagne solitaire mais ne vous inquiétez pas mon enfant, il ne sera pas toujours là! Et alors vous verrez les Tamers!

Gardez vos provocation pour vous car si je decide d'y repondre, il est fort probable que vous soyée un brin débordée.

Mais venez venez dans l'arène je ne pense pas être déborder face a vous ni face a quelque membres que ce soit de votre guilde. L'arène ne sera jamais a vous...Sinon l'enfant a plus de huit milles années de vie.....

Seigneur Dante, vous qui avez abandonné vos amis et alliés pour vous ranger contre eux, vous ne récolterez que le mal et la destruction en continuant dans la voix où vous vous engagez.
Et nous n'attendons que de voir votre bravoure et votre vaillance au combat s'afficher pour vous croire.
Des choses cachées pourraient se réveiller pour lutter contre vous et vos dompteurs. Vous prétendez dompter le mal mais vous ne parvenez même pas à vous dompter vous-même.
Montrez et nous vous croirons et peut-être certains se rangeront de votre côté mais comme vous le disiez si bien lors de l'Orclandish, le mal ne vaincra pas.

L'heure approchait, le seigneur Alumess entra dans l'arène en même temps que les autres. Chaque adversaire jouissaient d'une popularité. Mais le plus acclamé était sans conteste le seigneur Alumess, le plus riche marchand de tout Nawakim. Un seul soupir de lui mettait les femmes venues l'acclamer en transe. Les nombreux graffitis sur les murs mettaient en scène les acteurs de l'arène témoignant ainsi cet engouement. Un dernier salut à la foule en délire qui hurlait...

L'affrontement commença, chacun, au début, sur un adversaire à sa taille, les plus faibles tombèrent, les soigneurs en premières lignes venus aider leurs camarades. Le Seigneur Alumess, dans la mêlée, tuait tout adversaire qui s'approchait lui, sous les applaudissements de la foule. Plus un seul rival ou rivale, ils jonchaient le sol, des serviteurs de l'arène s'approchèrent avec précaution pour ramasser les corps ci et là pour les empiler tel une montagne de cadavres. Une dizaine de ces serviteurs avaient péri, sous les coups des combattants assoiffés de sang, rien ni personne ne pouvait les arrêter lorsqu'ils étaient sous le contrôle de l'euphorie meurtrière.

Puis sous les applaudissements d'une foule en liesse, il ne resta que deux combattants en lice. Deux fiers combattants qui allait maintenant s'affronter pour la première place car comme veut la règle de chaque tournois : « Il ne doit en rester qu'un »

Un nom parmi les cris de la foule scandaient en cœur tel des supporters.

«  A L U M E S S ! ! ! ALUMESS !!! A L U M E S S ! ! ! »

Le seigneur Alumess leva son poing en l'air, la foule se tue, pas un bruit, pas une mouche, ne vint troubler ce silence.

« ICI JE SUIS INVINCIBLE ! ! ! CONTEMPLER VOTRE DIEU ALUMESS ! CAR DANS SES MURS DIEU C'EST MOI ! »

La foule en délire se mit à chanter une ovation pour le Seigneur Alumess. Des femmes en transe perdirent connaissance...

Le Seigneur regarda sa rivale dans les yeux, 2 mort-vivants vivant s'affrontant, le combat allait etre rude. Une combattante téméraire, la seule qui pouvait lui résister aussi longtemps. Le Seigneur Alumess pointa son Epée d' Oniralith vers elle, celle-ci fonça avec sa redoutable « déchireuse », de nombreux combattant étaient tombés sous ses coups impitoyables.

Qui allait l'emporter : l'expérience ou la jeunesse

Ce fut un combat rude et violent, le Seigneur aimait combattre avec cette adversaire de taille, ils pouvaient se déchainer mutuellement, mais ils savait qu'il n'y avait qu'un seul vainqueur. il ne devait en rester qu'un tel était la loi du l'arène. La jeune combattante farouche morte-vivante désirait plus que tout détrôner le Seigneur Alumess qui se prenait pour un Dieu. Elle mettrait un point d'honneur pour lui apprendre l'humilité...

Le combat fut titanesque, puis contre tout attente devant une foule qui hurlait le nom de leur dieu, le Seigneur Alumess mit un genou à terre. La barbare à moité démone par sa mère fonça sur lui, pour ne pas lui laisser le temps de se reprendre, la « déchireuse» prête à s'abattre sur lui. Mais le Seigneur n'avait pas dit son dernier mot feinta une faiblesse, lorsque la barbare avide de sang se jeta sur lui, celui-ci la frappa, avec rapidité, un seul coup qui l'envoya direct au tapis.

Le Seigneur Alumess regarda le corps de la barbare atterir, au sommet de la montagne de cadavre, avec satisfaction devant une foule en délire.

« JE SUIS DIEU !!! » cria-t-il en levant son Epée d' Oniralith en l'air

Tous s'inclinèrent, puis se mirent à glorifier, en cœur, le Seigneur Alumess, les paroles d'un chant qu'ils avaient spécialement créer pour lui...

Tout à coup celui-ci leva, la tête vers la foule, se mit à humer l'air comme s'il avait senti une odeur particulière, une odeur imprimée dans tout son être. Elle était là, parmi la foule, il le savait, une odeur particulière qui lui était propre. Malgré l'odeur du sang, de transpiration, de la foule, il la reconnue entre mille, il savait que celle qu'il chérissait se trouvait parmi la foule.

Il s'élança vers les gradins, puis grimpa vers une tribune où elle se trouvait. Arrivée à sa porté, elle recula à la vue du sang répandu sur son corps. Il la saisit par le cou avant qu'elle ne puisse réagir ou fuir, lui vola un baiser, car même s'il était un dieu tout puissant dans l'arène, il restait un voleur de baiser et disparut comme il était arrivé. Des femmes qui avaient observées la scène fusillèrent du regard la jeune femme qui avait eu l'honneur d'avoir reçu le baiser d'un dieu de l'arène.

Le Seigneur gravit la montagne de cadavre pour aller graver son nom en dessous de l'élue de son cœur. Puis satisfait, redescendit vers la terre ferme, en passant il jeta un coup d'œil vers la jeune barbare qui nettoyait son arme fétiche.

« Tu t'es bien battue, tu peux être fier de toi !!! Allez fait pas cette tête !!! Que veux-tu, ici, je suis dieu, c'est ainsi !!! Fais pas cette tête !!! Allez viens boire un jus de cerise, c'est moi qui paie !!! Profite-en, c'est mon jour de bonté Wouahahahahah !!!!. »

Spoiler:

D'accord ...Tant d'arène sont a venir j'ai encore le temps de te vaincre.
Mais tes amis les tamers n'ont pas fais un plis.....Je me demande bien ou Dante étais pendant que ses amis ce faisaient massacrer.......

Spoiler:

De toute façon je ne suis pas encore morte et on a encore le temps de se départager toi et moi...En attendant nous sortons de l'arène alors sans rancune....

Spoiler:

Et le jus de cerises sans glace s'il te plaît!

Viendra un jour où tu seras détrôné, ô toi qui te proclame dieu mais qui n'est qu'un mort-vivant aux armes trop puissantes.

Tout d'abord je souhaite féliciter alumess pour sa relative invincibilité et son fair-play.

Ensuite je pense que je ne devrais pas, mais vais m'offrir un petit plaisir ce soir.
Cher Giliam, chère Phyress,
Je suis surpris que vous souhaitiez vous engager dans une joute verbale. C'est un terrain abrupte et truffé de piège que vous choisissez ce soir. Mais soit. Vous décidé de venir me provoquer et m'insulter de quelques bravade infondée sur mon domaine alors que je n'ai fait que proposé un mouvement de renouveau a mes frères dont l'entrain et l'allégresse se sont amoindris sur les plages estivales. Certes j'avoue avoir une grande part de responsabilité dans ce ramollissement général. C'est pour cela que je me suis lancé dans un discours vivant, faisant l'éloge des Cinq Grandes Races doué de raison, et mettant en avant notre foi.
Mais qu'ai je récolter de tout ça??
On m'a pris pour un Mégalopsycopate en mal d'amour. Mais ceci est déjà règlé alors je peux passer aux suivants
On me demande en duel! Sachez jeune guerrière que la hache qui volait entre mes doigts à cédé depuis bien des lunes sa place au Bâton de Apen Tidaal. Mais s'il vous plait de déchirer un prêtre sans défence, que cela soulagerai votre âme ou que sais-je, et bien il est peut-être temps que vous veniez parlez afin que je puisse vous accompagner dans votre douleur. Je peu comprendre après tout, huit mille année de combats acharné pour être confondu avec un enfant...
Je vous prie sincèrement de m'excuser, je ne voyait pas dans vos yeux plus de 15ans d'expérience de la vie.
Mon absence à l'arène de ce soir est tout a fait explicable en privé si cela vous intéresse vraiment. Quant à mes camarades massacrés... j'aurais plutôt employé le terme sonné! Car ils reviendront demain.

Et vous prétentieux Elfe, de quoi parlez vous? de mon passé? de mes actes? Que connais-tu vraiment de ces histoires. Vous n'étiez à ma place ce jour là, mais je peux vous dire deux trois chose a se sujet, à vous et au autres qui ont l'aire de tant ruminer MON passer.
Le jour ou j'ai définitivement quitter les Wersats, les gens que tu appel mes ami me voyaient comme toi tu me voit maintenant... avant que je parte bien entendu. Quant à ceux que tu appelle mes alliés, c'était ceux d'un chef disparu, pas les miens. Et ce jour la ce n'est pas moi qui ai trahi les Wersats, mais les Wersats qui se sont trahit eux même et je ne peu le cautionner. Tu veux que je te raconte plus?
Face à la calomnie et la méprise, alors que j'ai fait plus d'effort que jamais on m'a rejeté. Tu parle de chose que tu ne connais pas. Mais je pense que tu veux en savoir plus?
Sais-tu ce que certains anciens Wersats m'ont avoué il y a quelques lunes?
"Tu avais raison, on aurait dû te faire confiance"
Alors la prochaine fois que vous osez imaginer penser essayer de vous avancer sur ce sujet, pensez que malgré ce que vous savez, vous restez tellement ignorant que c'est moins risquer pour vos oreilles de ce taire.
Comment un membre aussi loin que ça de la situation peu ce permettre d'en parler ainsi alors que les Wersats même n'ont pas vu la moitier de ce qui c'est passé.
Ensuite si vous sentez également des pultions psychopates face au prêtre je peux faire des thérapie avec prix de groupe.
S'il vous viens des lubie de prophète révélateur de bobard je pense connaitre quelqu'un qui puisse vous faire une cure plus efficace que la mienne. Révélez ce qui vous fera plaisir mais rappelez vous que vous n'êtes pas né d'une immaculée conception non plus.
Alors comme ça je ne parviendrais pas a me dompter... c'est tellement bas, absurde et infondé, que ça en devient comique. Cet pique (de mousse) me fait penser à un enfant désespérément à cours d'argument:
"hé ben toi... ben toi... ben toi de toute façon t'es pas bô!"
...
pathétique

En effet le mal ne vaincra jamais... mais ou voyez-vous en mon initiative le mal?
Hé bien moi je l'ai vu... dans un camps adverse qui se monte heure après heure contre moi. Un mal qui refuse l'autre, que refuse de vouloir connaitre vraiment l'autre avant de le blâmer. Un mal qui se propage sournoisement, le mal de l'ignorance. Je ne le vois pas en vous, mais qui vous cerne vous entoure, comme une brume qui nous sépare, voilant notre vue et assourdissant nos perceptions. Là réside le mal selon moi.

Je ne cherche pas de joute verbal avec vous je sait bien qu'en partant comme ça je finirais par vous taper sur la tronche a un moment ou a un autre par manque de patience....
Je dit juste que d'emmener vos amis dans l'arène face a moi c'est juste signer leur arrêt de mort.Quant a alumess c'est un adversaires que j'ai toujours aimer combattre et je le referais même si je doit encore perdre des centaines de fois...Allez y!Parlez toujours je préfère faire parler ma dechireuse et elle parle très bien pour moi....Amusez vous bien a envoyer vos amis....

Neno Sunniva écoutait les "débats" et les menaces proférées par les "Tamers"... Cela lui rappelait une idée dont le roi déchu Bossan Valentine lui avait fait part un soir: "reformer les Wersats, avec le nain comme chef"... Quelle bêtise! Comment pouvaient-ils reformer une guilde dont le vrai chef vénéré, Jagdpanther, n'était plus? Qui les suivraient? Personne assurément, seuls quelques fous souhaitant inscrire leur nom dans une quelconque nouvelle légende construite à la hâte avec des fondations vermoulues!

C'était ce même soir que Bossan lui avait démontré que Dante n'était pas le chef des Tamers, mais que ce dernier resterait dans l'ombre jusqu'au jour décisif...

Elle avait choisi d'en informer les Tamers, seigneurs honnêtes pour la plupart, du complot d'un nain et d'un roitelet. Un complot de plus en ces terres, et dont le "véritable" chef des Tamers lui ferait payer les conséquences, comme l'en avait assurée Bossan...

Sur ces pensées (somme toute) amusantes, elle reprit la route vers son domaine. Elle n'avait aucun pouvoir en ces terres, était certes respectée mais avait trop peu d'influence pour convaincre les guerriers expérimentés qui s'apprêtaient à commettre une erreur et à donner leur vie pour deux traîtres de plus...

Un nouveau complot, quoi de plus commun, pour deux égocentriques qui envisageaient de partager les terres de Nawakim entre eux deux?

Ceux qui doivent savoir sauront, les autres continueront a me juger.

Ainsi, elle avait soit-disant tort? Les preuves étaient là, mais elle ne pouvait les fournir matériellement parlant... Leur discussion ce soir-là au sujet des Wersats n'avait eu aucun autre témoin, tous deux lui faisant apparemment confiance. Confiance qu'elle avait volontairement et consciemment trahi. Il fallait bien commencer par un complot ou l'autre...

Neno Sunniva regarda le roitelet sous le capuchon, le nain un peu plus loin, et se trouva décidément bien étonnée de l'apparence des "héros" de ces terres aujourd'hui. Ils voulaient que les Tamers les suive? Grand bien leur fasse! Mais elle reconnaissait certains visages, et songeait au gâchis pour eux de tout perdre pour l'ambition personnelle de deux ingrats, incapables même de répondre sans s'égarer dans les méandres du passé...

Poussant un léger soupir, elle détourna la tête, ne cherchant pas à justifier ses paroles. Comme le disait si bien le roitelet, "le fruit avait pourri de l'intérieur" et "Le germe pourri qui a détruit les Wersats a bien grandi, atteignant jusqu'à leurs âmes" Son âme à elle était en de bonnes mains, des mains pacifiques. Elle avait quitté les Wersats de son plein gré pour aider à former les DragonSoul, petit groupe rescapé d'anciens Wersats ayant choisi de prendre leur destin en main.

Elle avait maintenant choisi d'être un Ange, sous l'égide de Darkpoet, qui s'était avéré un très bon chef des Wersats, et mettait en lui toute sa confiance. Les Dragons continuaient à grandir, sans qu'elle parvienne à savoir si leur âme était réellement "pourrie". Mais là n'était plus la question. Elle aussi, avait pris son destin en main et marchait vers une aube nouvelle...

Perdu, ils avaient encore perdu, mais par quelle malédiction...

Gizaos ne comprenait plus elle avait beau retourner la situation dans tous les sens, elle ne comprenait pas.
Luminae l'avait elle abandonnée? Les Dieux se montraient une nouvelle fois bien cruels avec elle.
La magicienne cherchait la solution. Elle se dirigea vers le temple. Un moment de méditation semblait s'imposer. L'humaine entra pieds nus comme chaque fois, ses armes restées au domaine, son sceptre laissé a l'entrée de la battisse. Déposant son obole sur l'autel de pierre, elle alluma le bâton d'encens, s'agenouilla puis patienta. Elle leva la tête, les vêtements de pénitente l'attendaient sur la table de pierre. Elle les revêtit doucement, puis se mit à réfléchir.
De longues heures s'écoulèrent, elle marmonnait sans cesse les mêmes paroles, la faim ne l'inquiétait pas. Son jeûne devait durer encore et encore, elle devait se purifier.
Enfin elle sortit du temple, ses idées étaient claires.

Les Tamers devaient se relever d'un tel échec.

Des noms lui vinrent à l'esprit, puis dans un souffle de vent guidé par sa déesse, son oreille ne lui en murmurait plus qu'un seul, non deux...Giliam, Phyress...détenteurs du titre de l'arène encore et encore, un jour ils seraient détrônés. Les Tamers finiraient par inscrire leur nom sur l'arène sept jours durant!

**Peu après**
Je n'est plus rien a faire ici....**S'agenouille devant alumess et l'aide a se relever**Merci pour tout....**Tourne le dos et sort de l'arène**Ainsi se fini ma quête.....On ce reverra peut être un jours.
Vous pouvez bien afficher votre nom 7 jours durant...Peu m'importe

Dame Marion0108 s'éveilla d'une douce nuit, la paisible ile de takim respirait la rosée matinale. En ouvrant ses volets, elle aperçut à travers le magnifique levé de soleil à la fenêtre de son somptueux château, l'arène de son voisin.

Déjà, la journée s'annonçait belle, Le petit déjeuner achevé, elle se décida à explorer un peu son ile..... Très vite, elle croisa l'étang de Florentus sur lequel elle avait l'habitude de s'adonner à son sport préféré, la pèche

Prise de d'espoir a l'idée d'une nouvelle journée emplie de soleil pour éclairé son chemin, Marion s'en alla vagabondé bonnant malant dans les foret de Nakim.
Alors que la torpeur commençait à la gagner, elle s'assit sur l'herbe fraiche, adossée sur d'imposante pierre. Elle commença par regarder l'envol des hirondelles qui annoncent le printemps, puis aperçut la lune et ce rendit compte de l'heure tardive. Là,...
Soudain, comme elle se levait, elle entendit des fracas de glaives et d'épée par de là le mur.
Piquée au vif de sa curiosité, elle entreprit de faire le tour de l'édifice. A peine quelques enjambées plus tard, elle se dressait dans l'encadrement du portail de l'arène d'un Seigneur local.
Jamais elle n'aurait eu la moindre chance en une pareille joute, mais que ne ferai-t'on pas pour tuer l'ennui.


D'un pas assuré la jeune femme, pénétra dans l'imposante bâtisse, décidée, elle vaincrait. Murmurant sans cesse les prières qui la sauveraient, elle s'entendit soudain prononcer ses mots hauts et forts :

Pour les Tamers, pour le Bien Pour Nawakim!

Alors que le Gong se faisait entendre au loin, elle rassembla ses forces, la concentration à son comble, puis entra a son tour dans l'arène
Comme s'il s'en fallut que cette bataille soit la dernière de sa vie, Marion mit toute son énergie au cœur du combat



elle saisit sa hache, telle une guerrière assoiffée de sang et se jeta sur le premier adversaire devant elle. Ce fut le pauvre Galmor qui tomba sous ses coup et se jeta sur le premier adversaire devant elle

Dans un éclair de lucidité, elle reconnut son frère d'arme, elle s'agenouilla prés de lui, prenant sa main inerte, elle resta là, hébétée par son geste.
Pendant que les autres adversaires s'entretuaient, elle tenait toujours la main de son ami. Tout à coup aucun bruit, elle se leva, se retourna, des cadavres ci et là éparpillés,un seul encore debout :
le seul l'unique seigneur Alumess

Ils se regardèrent une seconde puis se jetèrent l'un sur l'autre, un combat rapide car le seigneur alumess fut un instant distrait et Marion en profita pour lui donner le coup de grâce.
Elle n'en revenait pas elle avait remporté la victoire, des larmes de joies coulèrent le long de ses petites joues rosit par tout cette agitation...

Elle alla vite gravir la montagne de cadavre pour inscrire son nom en dessous des autres... Son geste accompli elle s'en retourna chez elle...

**Phyress regarda avec dégout alumess ce laisser vaincre par marion108 juste pour la narguer**

Dans les coulisses, les combattants de l'arène s'apprêtèrent. Le Seigneur Alumess, habillé avec les meilleurs équipements de ses magasins, faisait briller son épée d'oniralith Il était calme et serein comme à chaque fois.
Il observait ses rivaux et rivales venus de tout Nawakim pour se mesurer entre eux.
Chaque combattant avait plus ou moins une raison personnel de participer à ce genre de tournoi. Le son du cor leur annonça qu'ils devaient se rassembler au milieu de l'arène afin de saluer le public.
Dans un fracas d'armure, ils se placèrent en arc de cercle , saluèrent la foule qui leur offrit une belle ovation.
Un roulement de tambour, puis le silence mais celui-ci fut rompu par le choc des armes entre elles. Chaque combattant mit tout son cœur à l'ouvrage, chaque adversaire voulait donner le meilleur de lui même.

Le Seigneur Alumess avait perdu deux tournois à la suite, les propos insolents de la petite barbare l'avait mit dans une rage folle.
Par deux fois il n'était pas animé par la gloire et il avait perdu.
Pendant que ses adversaires tombaient comme des mouches sous ses coups, les paroles de la demi-démone résonnaient en boucle dans sa tête.

Animé d'une rage qu'il n'avait plus connu depuis des lustres refit surface. Il n'avait qu'une chose en tête à présent
tuer tuer tuer peu importe qui...

A la fin en resta quatre... Puis deux... Enfin un seul…. Lui …

Dans un cri de rage après un carnage sans nom, le Seigneur Alumess scella sa victoire dans un cri de rage. Il observa la foule comme s'il cherchait quelque chose ou quelqu'un, puis sans rien dire,il quitta la scène, sans un regard sur aucun de ses adversaires tombés au combat....

Spoiler:

** Reçoit une missive**
"Trop de victoire d'affilée objectif bientôt remplis....."
**Regarde vers le ciel**
Je serais la bas demain!

Le seigneur Alumess accompagné de Dame Gizaos vinrent chercher la Princesse Aërynsun pour se rendre à l'arène. Celle-ci se prélassait tranquillement sur la branche d'un pêcher. Elle les salua d'un geste de la main mais ne descendit pas de son arbre, elle saisit un fruit devant elle, leur informant en même temps qu'elle ne désirait pas se rendre à l'arène, car elle avait un autre projet en tête pour ce soir...

Dame Gizaos fut surprise de son comportement et de ses propos. Le Seigneur Alumess fut attristé par cette nouvelle, lui qui se faisait une joie d'être avec elle. Dame Gizaos la fusilla du regard... Mais l'effrontée ne lui répondit que par un haussement d'épaule et un rire magistral.

La conduite de l'elfe déplut fortement à Dame Gizaos... Mais où était passée celle qu'elle avait connue jadis, sa soeur de coeur, la farouche et fière guerrière. Gizaos savait que son comportement avait changée depuis son amnésie, mais cette fois, son attitude plus que puérile l'agaçait au plus au point....

Le Seigneur Alumess observa son amie sauter de branche en branche pour disparaître dans le feuillage épais de l'arbre, Dame Gizaos quand à elle se massait les tempes pour ne pas perdre patience .

Tout à coup sans prévenir, le visage de la Magicienne se figea, elle frappa le sol à l'aide de son sceptre, en fixant l'arbre. Surpris le Seigneur Alumess la regarda en souriant, il aimait bien voir Gizaos s'énerver, cela en valait le coup d'oeil...

L'arbre se mit à trembler, un cri retentit, suivit de prés par la chute de l'effrontée, Alumess se précipita, attrapa l'elfe surprise de se retrouver dans ses bras, celui-ci en profita pour l'embrasser avant qu'elle ne s'enfuit comme à son habitude.

Dame Gizaos saisit l'oreille de l'elfe pour l'éloigner d'un Alumess dépité, avant même qu'il ne réagisse, la magicienne, d'un geste rapide, vint lui mettre son sceptre devant lui, le visage froid impassible. Elle entraîna l'effrontée un peu plus loin pour lui dire deux mots...

Elles revinrent quelques instants plus tard, Dame Gizaos rayonnante, la Princesse Aërynsun boudeuse comme à son habitude pour ne pas changer...

…

Dans les coulisses de l'arène, tous se préparaient afin d'apparaire sous leurs meilleurs jours, devant une foule venue les acclamer comme tous les soirs. La Princesse boudait toujours dans son coin. Dame Gizaos l'observa une seconde puis alla s'entretenir avec le Seigneur Alumess...

Elle lui demanda une chose qui le mit dans une colère noir, il refusa net, son mécontentement résonna jusqu'à l'extérieur des coulisses. La Magicienne avait un plan en tête et il fallait à tout prix que le Seigneur Alumess y joue son rôle comme elle le souhaitait que cela lui plaise ou non.

La princesse ne leva même pas un cil pour savoir ce qui l'avait rendu de mauvaise humeur... Le son du rassemblement retentit, tous allèrent se placer comme chaque soir, en arc de cercle pour saluer le public, avant le début du combat.

Un combat sanglant s'engagea entre les adversaires, tous voulaient la victoire... La Princesse Aërynsun déambulait dans l'arène, allant même discuter avec un fan qui lui demanda un autographe. Dame Gizaos hurla son nom, entre deux combat, pour la rappeler à l'ordre... Celle-ci revint au coeur de l'arène pour aller s'assoir sur rocher devant elle, le Seigneur Alumess à ses côté tuant toute personne à proximité.

Dame Gizaos distraite par ses agissements, hurla le nom d'alumess avant de succombé sous les coups du Seigneur Brere... Alumess fonça sur Brere laissant Aërynsun seule sur son rocher. Après avoir fracassé le Seigneur Brere, le riche commerçant de Takim fut fracassé à son tour par le Seigneur TapDur

La princesse cherchant un fruit dans sa besace ne remarqua même pas que son protecteur n'était plus près d'elle... Un adversaire vint vers elle, elle leva la tête pour recevoir un violent coup qui la projeta contre le mur de l'enceinte, elle leva les yeux et se vit entourée d'assaillants. Des réflexes longtemps en sommeil firent surface, une migraine vint s'ajouter à la douleur causée par les coups de ses adversaires. Elle chercha du regard le Seigneur Alumess sans le voir, ses yeux d'un bleu cyan cédèrent la place à des orbites noirs sans vie, elle se leva et frappa. Dame Marion venue lui donner un coup de main tomba sous son épée. Elle se rua ensuite sur le Seigneur Tapdur, et sous l'emprise d'une folie sanguinaire, un long combat commenca. Le malheureux finit néanmoins par succomber aux assaults répétés de la princesse devenue incontrolable... Pour finir elle se jeta sur le Seigneur Lendemor, s'acharnant de toute son âme alors qu'il ne bougeait plus.

Une main bloqua ce geste inutile... Elle se retourna pour voir le Seigneur Alumess... Ses yeux noirs se mirent à briller, un rictus fendit son visage... Voilà un adversaire de taille !!! Se dit-elle. Une seule idée occupait à présent son esprit... trancher sa tête.

« Cela suffit Aëryn !!! » lui-dit il d'un ton ferme

Pour toute réponse un grand cri étouffé par une gifle pour lui remettre les idées en place...

« Gné ?!? »

Dame Gizaos accourait auprès d'Aërynsun pour la prendre dans ses bras, elle s'était battue vaillement...

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