Concours RP de saint-valentin

Bonjour à tous,

Voici donc le grand concours RP de saint-valentin.

Pour participer, rien de plus simple, poster votre RP à la suite de ce post.


Thème du concours : "La plus belle déclaration d'amour"


Gain de l'animation :
1er : 15 level up
2ème : 10 level up
3ème : 5 level up

Le jury est composé de Saluki, Taramis et Gargaelle.

Le RP doit être déposé avant ce dimanche à 23h59, heure du post faisant foi.

Les résultats seront communiqués la semaine prochaine

***Depuis des heures, le guerrier cherchait la salle ou devait se dérouler le councours RP pour la St Valentin.... Depuis des heures, il avait laissé sa Valentine toute seule pour enfin trouver les mots decrivants le doux sentiment qui animait son âme et le faisait se sentir en vie... Des heures loin d'elle... pour finalement trouver une salle inanimée...

Larry se dirigea vers le centre de la piece... sur un bureau vide etait déposé deux poemes qu'un orc et un elfe avaient redigé... Se disant que finalement l'amour etait commun a tous les etres peuplant ces terres, Larry froissa le poeme qu'il avait écrit pour la douce paladine qui partageait son quotidien... Saisissant un morceau de craie qui trainait là, il s'avança vers le tableau noir pres du bureau d'un jury absent... ***



Pardonnez mon retard, mais il n'est point d'heure pour aimer.... je suis un elfe du soir, et laissant seule mon amour qui dort a poings fermés, je viens vous crier mon amour... cet amour que tant de fois dans le creu de son cou j'ai sussuré...

Je vous le crie a vous!!! car elle deja le sait... meme si jamais je ne me lasses de le lui répéter....
Je vous le crie a vous!!! car ses oreilles sont si fragiles qu'un murmure les abimerait....
Je vous le crie a vous!!! car j'ai besoin de le confier...
Je vous le crie a vous!!! car ce soir encore, je n'oserai la reveiller...
Ce soir encore... Je retournerai me coucher... Pour la contempler dans son sommeil aussi profond sans doutes que les sentiments qui m'empechent de m'endormir ce soir....
Ce soir encore... Je l'embrasserai sans qu'elle ne se reveille, lui arrachant son plus joli sourire nocture...
Ce soir encore... Je poserai ma tete sur sa poitrine pour entendre ce coeur qui bat pour moi


A Maddyzou

***Jetant a la poubelle le poeme qu'il avait a l'avance rédigé, Larry quitta les lieux pour rejoindre sa Valentine qui dans son sommeil l'appelait...***

L'amour ?

Cette chose étrange qui affecte les nains, oui je connais.
Je dirais même que j'en suis , encore aujourd'hui, la victime.
Un nain aimer une elfe...absurde !

Rien n'est écrit en ce monde.

Ces "vérités" que nous n'avons jamais remises en question :
-Le nain est supérieur à l'humain,
-L'arrogance des "oreilles pointues" n'a d'égale que leur morgue naturelle,

-Et enfin, ma préférée :

-A moins d'être enrhumé, on approche pas un orc sous le vent.
(celle-la j'ai vérifié....c'est bon).

Pour les autres....

Si la vie est une route, alors c'est une grande avenue que l'on s'imagine emprunter.


Quelques années ont passés, devant nous s'étale un ruban d'asphalte, plat et sans surprise.
Ce qu'il nous reste à faire ici bas à l'air bien morne, tout à coup.

En se retournant, la surprise !

"Mon Dieu que cette pente était donc ardue et ce chemin sinueux."
Il ne m'a pourtant pas semblé avoir tant souffert ?

Cette présence, une douce caresse, sa main dans ma main.



Voila donc la raison !

Qui d'un sourire éclaire ma vie ?
Qui d'un sourcil commande à mes humeurs ?

Elle !

Si j'ai pu rêver un chemin plus grand, plus glorieux,
Moins de creux, d'ornière.
J'aurais arpenté la route des enfers,
Sur les lèvres un sourire,
Mes pas dans les siens.


Il faut se ressembler un peu pour se comprendre, mais il faut être un peu différent pour s'aimer.

Pff... vive le plagiat...

http://jodereck.skyrock.com/2532154685-j-aimerais-pouvoir-te-dire.html

http://poeme.boreal.info/?2010/12/21/468-une-nuit-en-hiver

Et deux de moins... il serait si dur de jouer le jeu !?




Edit admin : Les messages concerné ont été supprimer et sont hors concours

***les mots avaient été jetés avec amour par des amoureux dont le coeur battait à l'unisson avec leurs valentins et valentines......Son regard s'arrêta en même temps que son coeur sur les derniers mots....ceux de son âme soeur....celui qui la faisait rêver, sourire, rire, crier parfois, cela il fallait l'admettre ...enfin celui pour qui son coeur battait à l'unisson dans un seul battement, le battement des ailes de leur amour.....Des ailes qui lui donnèrent le courage de lui avouer tout l'amour dont elle débordait......Elle se lança alors et jeta à son tour les mots comme une pluie d'étoiles filant vers ceux de Larry son beau guerrier....***


Si un oiseau j'étais, je picorerais dans ta main
Si un papillon j'étais, je virevolterais autour de toi
Si un chat j'étais, je serais ronronnante de calin
Mais je ne suis que moi


Si un archer j'étais, ma flèche atteindrait son but, toi
Si une sirène j'étais, je chanterais pour t'attirer à moi
Si une lionne j'étais, je rugirais mon amour pour toi
Mais je ne suis que moi

Je n'ai pas d'ailes, oiseau, je ne suis pas
Je n'ai pas de belles couleurs, papillon, je ne suis pas
Je n'ai pas de moustaches, chat, je ne suis pas
Je ne suis que moi

Je n'ai pas de flèches, archer, je ne suis pas
Je n'ai pas d'écailles, sirène, je ne suis pas
Je n'ai pas de crinière, lionne, je ne suis pas
Je ne suis que moi

Je n'ai pas le corps d'une déesse
Je n'ai pas les pouvoirs d'une magicienne
Je n'ai pas la grâce d'un ange
Je n'ai pas la voix de la mésange

Je ne sais rien
Mais je sais qu'à jamais je t'appartiens
Je ne sais rien
Mais je sais que de mon amour tu es le gardien


Mon amour, ma vie tu es
Mon amour, mon coeur tu es

Amour de mon coeur
Mon coeur d'amour
Toi mon âme soeur
Ne doute jamais de mon amour

Warpath, tel était son nom, maintenant
Avec son nouveau corp d'orc, elle l'avait pourtant
Reconnu. Son coeur avait battu la chamade dès le
Premier jour où elle l'avait revu.
A ce moment là, elle vivait avec un autre. Le
Temps avait passé et elle l'avait cru mort.
Hélas, quand Ubris avait disparu, elle avait cru tout perdu à
Jamais.Un elfe charmeur avait su conquérir son coeur meurtrit.
Et si la douleur s'était appaisée, elle n'avait jamais oublié.
Toujours, dès ce premier regard quand elle était arrivé et qu'il l'avait
Accueilli avec un nouveau fouet. Depuis cet
Instant, elle avait de nouveau senti son coeur battre dans sa pointrine
Maintenant, elle savait, elle était appaisé, elle l'avait retrouvé, et
Enfin, elle pouvait à nouveau dire: Warpaht, je t'aime, mon amour.

Une plume poussée par le vent,
Doucement déposée sur la joue
D'une elfe paisiblement endormie.
Caresse légère, douce comme la soie,
En une fraction de seconde, scella
le sort de deux destins.

Un nain au plumage magnifique,
Au doux duvet soyeux,
Poursuivait son chemin,
Inconscient du funeste sort
Que lui réservait cette plume
Ravie par un vent taquin.

L'elfe réveillée, contempla admirative
Cette plume si délicate, si douce
De ce jour, sa quête fut
De plumer le nain

Pauvre nain, avançant joyeux et confiant
Dans sa bonne étoile sur le chemin
D'une destinée faite de souffrance
Pince à éplumer, crème déplumatoire
Et le croupion du nain s'en trouva dégarni
Mont chauve exposé à tout vent.

La Saint Relique, protectrice du croupion sacrifié
Ne découragea pas l'elfe, si avide
De ces plumes si douces
Un baume magique les rendit multicolores
Pareil arc-en-ciel n'avait encore que plus d'attrait
Pour l'elfe envoûtée....



Ripley j'aime tes plumes !

Dans les sentes pierreuses, il cheminait.
Dans la cheminée de pierre, il brulait;
Par sa mère la roche son cœur de lave bouillait.
Comme sa mère Gaïa, il grondait en son poitrail.

La force des éléments jamais ne se dément,
Cela le rendait dément, la belle volait légère et gracieuse,
comme les plumes qu'elle traquait, insouciante et rieuse.

A trop protéger son âme noir l'infâme comploteur, la femme
fut flamme, et la braise même fait fondre les cœurs de pierre,
les plus rudes et les plus anciens.

A trop chasser le croupion, on expose le sien !
Qui trop éplume mal étreint !
Le désir doit être éteint...

Saisissant la belle volage, il lui présenta l'écrin sacré :
La patine de la platine pince à éplumer incrustée de diamant bruts,
brillait de milles feux.

"Dame, que je me damne, si point ne voulez m'épousez, afin qu'en ces temps de drames,
seule vous ne soyez! acceptez ce présent et dites oui, Dame Llilian"

Le plus grand bonheur que peut donner l'Amour,
c est le premier serrement de la main de la femme qu'on aime

*** tend une main tremblante vers sa princesse paradisiaque ........... ***

*** son coeur palpitant a mille coups dans sa poitrine, timidement pose sa main dans la sienne tremblante,
sans oser croiser le regard de son Am' Ours de peur de flechir, ferme les yeux pour savourer cet instant ou les doigts , apprennent a se decouvrir .....

Une rose noire pour chaque jour, présent d'un soupirant à son amour.

Comme chaque matin, il se leva aux aurores.
Comme un pantin, il prit la route du nord.
Aux pieds du temple, genoux à terre il posa,
Aux creux des pierres, belle fleur il ramassa.

En ses mains ternes, de mille feux brillait,
En son cœur même, l'étincelle s'allumait.
D'un pas chancelant, s'avançait vers Elle,
L'amoureux transi, sous les yeux de la belle.

Devant elle, il déposa le fruit de ses efforts.
Le teint blême, il se plia à la volonté du sort.
Son serviteur, il était, et à jamais il resterait,
Esclave de ses désirs et de sa froide beauté.

D'un geste maladroit, il s'incline à ses pieds,
D'un regard froid, elle le rend à ses corvées.
Guère plus d'échange, en ce jour semblable,
A tant d'autres tout autant méprisables.

Une rose pure en ce jour particulier, preuve silencieuse d'un amour inavoué.

En un dernier espoir, les yeux lève,
Vers la dame noire, sujet de ses rêves,
Le fidèle intendant au regard pale,
Mais de ses lèvres n'échappent qu'un râle.

"Dame sombre, au cœur souffrant,
Belle Ombre, aux deux amants,
Cette fois, je vous l'avoue,
De votre beauté, je suis fou."

Que la pensée se voulait belle,
Par malheur le son manquait,
Les yeux levés vers la belle,
Il ne pouvait la libérer.

Tremblant d'humilité,
Il ne sut que murmurer :
"Zippo vous aime."
Avant de s'effondrer.

Une rose fanée pour un cœur brisé, en un cachot il pansait ses plaies.

(suite)

L'ombre se déplaçait, elle enveloppa silk et Llilian les transportant dans la vallée sacrée.

Les paysans qui œuvraient sur les terres à flan de coteaux réprimèrent un frisson inconscient, puis reprirent leurs travaux, pour apporter la subsistance aux peuples environnant.
Les enfants jouaient à la chasse à l'orc. Les plus courageux, s'aventuraient parfois en lisère des bois interdits.

Un vent glacial passa.

Le sol se mis à trembler, et l'on entendit hurler :

"DRAK!!DRAK!!"
Grungi !!
Aide nous!!"

Des krums résonnèrent alors...

Une mère de brouillard se répandit dissimulant la forêt, la montagne...
Seul des sons inconnus parvenaient distordus des lieux.

Des Khazukans, les gardiens d'élite furent dépêchés!

Ils se rassemblèrent, près à défendre leurs terre et à se sacrifier.


Le silence.
Horrible silence.

Juste une respiration sourde et profonde..après les tremblements de la roche.

Les entrailles de la brume se déchirèrent avec regret laissant apparaitre une forme indistincte.

Alors, on entendit :

" grik!!"

Silk était là, serrant la main de Llilian.
de la brume à ses coté dépassait une griffe rougeâtre de la taille d'un arbre géant.

Fixant son peuple, il parla :

"DAWI DOKED DAMMAZ KRON !!!
GOUZED GRIZDAL!!"

il marqua un temps, se retourna et le brouillard s'ouvrit dévoilant, un énorme dragon rouge, plus vieux que les temps eux même. Dominant la forêt, son ombre s'allongeait jusqu'à deux tours monstrueuses sculptées dans la paroi de la montagne elle même. Elle encadraient une porte couverte de rune, suffisamment grande pour que la créature la franchisse :

"KHAZ KAZAK DUM"

Le dragon déplaça avec grâce son corps immense, prononça quelque chose et les runes s'illuminèrent.
La porte s'ouvrit, sans un bruit, sur une route, encadrée de colonne de marbre, s'enfonçant dans la montagne...
Silk s'engagea par l'ouverture immense.

La créature mythique avait pénétré plus avant.
illusion ou simple jeu de proportion, elle sembla bien petite alors.

Silk lui-même avançait regardant avec respect les lourdes colonnes de pierre preuves vivantes du talent inégalé du peuple nain. Celles-ci supportaient le dôme de roche et encadrait plus qu'un couloir, mais une vrai route!

Entre chaque pilier, contre la paroi, sculptées à même la roche, se dresse des trône de pierre. Silk se dirigea vers le premier d'entre eux. Il représentait une jeune femme dressée fièrement, arborant un bâton irradiant la puissance, et une jeune fille montée sur un cheval cabré.
Sur le socle une inscription :
Palomino, bounty et cassisfleur, héros du royaume

Silk s'inclina.
il resta silencieux longtemps... et laissa Llilian découvrir les lieux.
il poursuivit alors son périple, d'autres statues, offraient au spectateur, l'effigie de seigneurs des royaumes :
tant de noms, tant de héros plus ou moins méconnus, certains présents, d'autres dont l'absence broyait le coeur.

Chaque colosse de pierre, portait une effigie, un blason, et une brève description de son modèle, parfois en quelques mots, parfois, en une phrase sibylline...

Silk nota la présence de :
SHAM, gardien éternel du royaume, maitre des vents et de la météo,
ténébran, fier et fidèle compagnon éternel..

Puis venaient les statues des seigneurs de guerre :
kriegmann, lilith, klod, enkidu, et d'autres.


Silk savait que chacun possédait en ces lieux une représentation ou plusieurs de ses mystères..

plus loin on retrouvait les pairs du royaume, et chacun disposait d'une statue à son effigie. Continuant, il retrouvat Llilian la belle et farouche. Sa statue avait bougée ! Elle trônait a ses cotés

Silk remarqua que sur la droite, se trouvait celle d'anciens seigneurs, décédés ou volant de leurs propres ailes vers d'autres aventures.

Wogard, Farok, seigneurs fondateurs de la waagh, alliés éternels des canards sauvages, ayant été rejeté par tous comme impie dans leurs quête de leurs racines.

Puis venait Elaktra, et Triple H couple enlacé dans un bonheur parfait, une vison de paix et de sérénité.

IL se retrouva au pied du vaste escalier.
En son centre un trône.
Sur son socle, son nom.

silk sourit et s'avança vers le sommet de la volée de pierres.
Il se retourna faisant face à ceux qui avait suivi intrigué, l'étrange couple.
Silk répéta la phrase rituelle :

"Entrez amis, dans notre forteresse!
Retrouvez la source!
contemplez les pouvoirs des ancêtres!
ces terres sont nos havres!

Que chacun le sache!
tous peuvent venir en paix!"

La voix de Silk porta dans les halls rassurante et forte!!

Faites sonnez les tambours de pierre !
En ces temps de guerre, nous allons vivre la joie, et continuez notre route !
Je suis venu vous présenter la femme de ma vie.

Que les héros tombés aux champs d'honneur dorment souriant, l'avenir de notre peuple est peut-être assuré.

Tout cela ne tient qu'en une parole ..."

Silk s'agenouilla au pied de LLilian :
"Princesse des elfes, filles des vents, du soleil et de la nature même, accepter vous de vous unir au fils de la pierre.
Que nos éléments soient unis à jamais...
Ou que seul je demeure, si d'un non, vous condamner mon âme à la solitude.
devant nos ancêtres, mon peuple réuni, je vous le demande, voulez vous m'épousez!"

Insouciante et rieuse l'elfe, sans relâche traquait les plumes virevoltantes, poursuivant sans cesse sa quête.
Elle escaladait les rochers tel un cabri.
Au détour d'une rocaille, deux bras puissants stoppèrent sa course.
Elle découvrit le Seigneur Silk tandis que des mots enchanteurs ravirent ses oreilles et que ses yeux découvraient le magnifique écrin qu'il lui tendait.

Une ombre les enveloppa soudain et ils se retrouvèrent dans une vallée magnifique.
Des choses étranges se passèrent et un énorme dragon rouge apparut.
Effrayée, l'elfe se serra contre Silk. Sa main serra la sienne et rassurée, l'elfe le suivit sans crainte.
L'endroit était magique, une atmosphère sacrée y règnait.
Llilian découvrait les statues des différents seigneurs avec émotion.

Puis l'elfe aperçut sa statue au côté de celle de Silk.
Un sentiment de sérénité l'envahit. Soudain, elle sût. Son esprit s'ouvrit et elle compris qu'ici enfin son destin allait prendre vie.
Silk s'agenouilla et les mots qu'il prononça bercèrent ses oreilles.
Son coeur comprit qu'enfin elle avait trouvé son âme soeur.

Doucement elle releva Silk et avec un tendre sourire lui dit

J'accepte de m'unir à vous, je n'aurais le coeur de condamner votre âme à la solitude alors que vous venez d'emplir la mienne de bonheur.

Ma douce et tendre,
Que j'aime te voire chaque jour,
Parcourir tes formes au petit jour,
Ton parfum se mélange à celui de la mer,
Et un instant pose genoux à terre.

Ma douce et tendre,
Que j'aime du bout des doigts le soir venu,
Caresser ta douce robe verdoyante,
Alors que le soleil au loin se couche,
Toujours sur toi je louche.

Ma tendre et douce,
Je t'ai quitté un instant,
Savourant d'autres ciels bleus,
Mais mon coeur sans toi se meurt.
Me voilà sur le chemin du retour pour te crier...

GRIKIM JE T'AIME !!!!!

j'aimerer me saouler de ton parfum
plonger dans le lac de t'est yeux
me noyer dans vague de tendresse
et échouer sur le rivage de ton coeur