Larry aimait la regarder se lever, tôt le matin, l'ouïe flattée par le doux chant d'un rossignol venu rendre pour l'occasion la vie un peu plus belle. A l'horizon, les premières lueurs matinales commençaient à rendre ce que la nuit avait prit, et l'ombre de chaque chose devenait plus nette tandis que le soleil poursuivait sa longue ascension. Elle était là, devant lui, se réveillant paisiblement après une longue nuit de sommeil. Elle était là, sous ses yeux, et dans la fraîcheur matinale de cette dernière journée de printemps, Larry la trouva plus belle que jamais...
Il était là. Elle était sienne....
Grikim!! Quel drôle de nom songea-t-il.