En ce moment chez les Tamers...

HRP: Je précise que la petite histoire qui va suivre n'est que pure fiction, paroles et actions des personnages doivent, de fait, être prises dans ce sens...

- Arnreth: Au secours! A l'aide! A moi! A l'assassin! Il y a Jaxom qui veut ma peau!

- Galmor: C'est pas que je veuille pas t'aider mais ils peuvent m'éradiquer très rapidement, je suis désolé... Adieu...

- Saint-Pierre: Ne t'inquiète pas, je connais le lascar, il laisse toujours toute son armée dehors. Demain matin, à la première heure, je lui rase son armée et après, hop, tu lui prends quatre territoires...

- Patricke: C'est pas que je ne puisse mais... euh... disons que j'ai déjà le Silk et son chef de guerre (Krieg) sur le dos alors bon, vos petits soucis...

- Loups, comptant ses petits soldats: 501, 502, 503... Quoi ? Un problème à l'Est ? 504, 505, 506... Loin des yeux, loin du coeur...

Le seigneur loups compte ses soldats mais il fait du dégat ( oups balthazar ).
Et il fera encore du dégat.
Faite bien attention le loup est toujour là ou on ne l'attend pas au moment ou on ne l'attend pas.......

Ô Mersafyn, toi dont les charmes ont ravi mon coeur, toi dont les appas m'attirent comme autant d'irrésistibles aimants, je ne suis rien en ta présence, juste ton esclave, un serviteur habillé de ta splendeur...

Non, non, ne te retourne pas, ne me demande de me mettre à tes côtés, je ne le mérite pas, regarde à droite et à gauche pour voir si aucun soldats de Llilian ou de Jaxom ne pointeraient le haut de son haubert, je reste en ton dos, humble et respectueux...

Croit entendre un son venant des frondaisons, se décale encore un peu, se fait tout petit pour bien être caché par la gracile silhouette qui le devance.

Tu me demandes pourquoi est-ce si nécessaire que je tire ainsi sur ton bras tant aimé... ? Ah, si tu savais tous les tourments qui agitent mon âme de ses soubresauts fébriles... Je suis réduit à un rien, je veux t'attirer à moi mais je me dois de rester en ton ombre...

Un frisson le parcourt, un moineau se pose une branche...

Assez, c'est encore trop, ta beauté m'aveugle, ta présence me liquéfie toute résistance... Partons loin, là où il n'y aura que nous - avec autour ton armée, des murailles, des tonnes de pierres salvatrices -, oui, allons dans ton donjon, allons là où personne jamais ne pourra nous atteindre, où notre passion - en ce sanctuaire imprenable avec toute toutes tes troupes d'élites montant la garde - pourra s'épanouir en toute liberté...

Un souffle de vent audacieux s'élève et découvre l'épaule délicate de la belle...


A suivre....


ps et hrp: point de moquerie en mon esprit, juste une interprétation un peu fantasque... ^^

Vous avez des espions partout Seigneur Jaxom. Votre perspicacité est redoutable, j'oserais dire inversement proportionnelle à la force de vos armée. Je pensais que mon début d'idylle avec Dame Mersafyn était restée secrète ...

Mais pourquoi se limiter à Jaxom (qui soit dit en passant ne serait plus là sans Lilian) et Lilian, vous oubliez Minato et Kriegmann. Rien de déshonorant donc à se battre main dans la main (et plus si affinités) à 2 contre 4.

D'ailleurs je me demande comment se passe votre idylle à 4, rien de très convenant là dedans ... Auriez vous des difficultés à combler Dame Lilian tout seul pour vous faire aider ?

Passez en mon château je vous donnerai quelques menu conseils.

Salutations Seigneur Jaxom !

Mersafyn alluma une troisième bougie.

Galmor ... fort, beau, ténébreux et stratège !
Quel homme ! et qui l'avait enfin rejointe.

Ensemble ils pourraient profiter de leur retrouvailles si ardemment désirées !

Et ils pourraient combattre côte à côte le jour, et (censuré) chaque nuit !

enfin !!!

Puis elle pensa à deux autres Dames qui avaient moins de chance et d'amour qu'elle ! Dame Llilian multipliait les soupirants sans qu'aucun ne la satisfasse qu'à moitié ! Quant à Perle ... pire était encore ! La pauvre distribuait les kissouilles à des canetons pour trouver un semblant d'affection !

deux êtres complémentaires s'attirent et attirent les jalousies des autres

[HRP] Le message d'au dessus ayant été supprimé, le mien devient inutile. retour au RP.[/HRP]

St-Pierre... St-Pierre... dit une voix familière à l’oreille d’un général sursautant devant sa table de conquêtes... (Maryvonne, Leslie, Cécile… Ah, oups, non, me suis trompé de conquêtes... Poursuivons...)

St-Pierre se retourne, une sueur glaçante coule le long de son échine mais rien, la pièce vide ondule sous les caprices des chandelles...

St-Pierre... St-Pierre... C’est moi, tu ne me reconnais donc pas ?

A... Ar... Arnreth, répond l’homme d’une voix chevrotante, empreinte des plus sombres craintes...

Oui St-Pierre, c’est moi, ton grand ami, celui qui d’ici-bas se retourne vers toi, vers toi...

Vers moi, mais, mais, pourquoi viens-tu me hanter, je te jure que j’ai tout tenté pour t’aider... tout... Je... sa voix se termine en un indicible trémolo...

Non St-Pierre, non St-Pierre tu ne m’as pas encore aidé, c’est aujourd’hui que je viens au devant de toi, pour toi...

M... m... m... mais, pourquoi, pourquoi moi ? L’homme recule, cogne sur sa chaise qui se renverse en un bruit sourd.

Je viens du Purgatoire et mission me fut donnée, de toi, je dois suivre, jour, nuit, ne jamais te laisser...

Aaah... non... pas ça... non, laisse moi, je confesse toutes les fautes mais je t’en prie, laisse moi... Il se met alors à genoux, les mains jointes en signe de prière...

Hé oh, St-Pierre, t’y es pas du tout, je suis allé en bas, Méphisto n’a pas voulu de moi, on m’a alors envoyé au Purgatoire et là, on m’a dit « Seul St-Pierre peut t’aider et révéler ton devenir, lui, le gardien du Paradis » donc voilà, me voilà et bien que j’ai rien compris, je te lâche plus...

Nooooon...

Voilà une semaine que St-Pierre, dont la vie était jusqu’alors fort paisible, passe ses jours et ses nuits avec le fantôme d’Arnreth et de fait, n’ose plus remplir ses devoirs conjugaux avec la belle Thérèse...
La scène se passe la nuit, St-Pierre et Thérèse sont tous deux en un lit bien froid, chacun isolé en son côté...Thérèse n’en peut plus, si c’est pour ça, autant entrer au convent.

- Thérèse : Pierrechou, réveille toi.

Elle le secoue avec toute la légèreté qu’on lui connait, menaçant d’envoyer notre saint ci gir au bas du lit.

- Hein, quoi, ma Mie, une attaque ?

Il enlève son bonnet de nuit, passe une main fébrile en sa chevelure clairsemée et, machinalement, commence à enfiler ses chausses.
Elle le repousse dans le lit.

- Regarde moi, Pierrechou, regarde moi bien car tu ne me reverras plus !

- Comment, moi, toi, plus vous voir, mais qu’est-ce vous prend ce soir ?

- Ce qui me prend, dis-moi plutôt son prénom à elle ?

- A elle, quoi, comment ?

- Oui, une semaine que tu ne me touches plus alors que d’habitudes tu es un vrai(censuré par le narrateur), il doit bien y en avoir une autre dans ton cœur, avoue!

- Mais non, mais non, que vas-tu penser là.

St-Pierre, regarde à droite à gauche, il n’est pas tranquille.

- Alors pourquoi, pourquoi ? Je te plais plus c’est ça ?

- Bien sur que non, oups, je voulais dire si, enfin, tu me suis, non ?

- Pierrechou junior troisième du nom, soit tu me dis ce qui ne va pas, soit, tu ne me revois pas !

- Ben, je, c’est compliqué et je crains que tu ne puisses comprendre.

Etrangement, il ne sentait pourtant la présence du fantôme d’Arnrteh.

- C’est ça, dis tout de suite que je suis une sotte juste bonne à... à quoi d’ailleurs, puisque tu me délaisses, moi qui t’aies sacrifié l’or pur de mon existence...

Elle se retourne, s’enveloppe dans son drap et lui tourne le dos.

- Non, ma Mie, ce n’est pas ça voyons.

Non, vraiment, le spectre n’était là... Tant mieux..

Il se penche vers Thérèse, effleure sa nuque délicate de ses lèvres et...

- Salut la Compagnie !!!

...fit un bond de terreur, passant au dessus de Thérèse pour finir, méditant sur le sol glacé...

- Ga, Ga, Galmor ? Dit-il médusé.

- Comment ça Galmor ? Répond sa femme, c’est à lui que tu penses !

- Quoi ?! Mais non Thérèse, je , je...

Mais trop tard, Thérèse, drapée dans sa dignité blessée descendait du lit.

- Si tu veux me revoir, viens chez maman, adieu.

La porte se referme en un claquement sourd.

- Thérèse reviens, reviens.. Il lève une main suppliante mais elle était déjà loin.

- Hé St-Pierre, ca a pas l’air d’aller fort dans ton couple, je peux aider, dis ?

Saint-Pierre, rouge de rage, se retournant vers le fantôme de Galmor.

- En fichant le camp de mon château et presto !!!!

- Euh, St-Pierre, je crains que cela ne soit possible... Tu trouveras jamais, j’étais au purgatoire et devine sur qui je tombe ?

- Arnreth., dit un St-Pierre résigné...

- Oui, lui-même! Il m’a alors dit que seul toi pouvait nous faire gagner le Paradis alors me voici, du coup, on va être deux à te tenir compagnie, t’es content, dis ?

St-Pierre regardait sa fenêtre avec envie... Vraiment avec envie...

En son esprit la bataille faisait rage, la belle mère ou les spectres, la belle mère ou les spectres...