Les Wersats de Nawakim

Plus de recrutement... Guilde hélas dissoute... Les explications à venir dans la légende .

L'histoire des Wersats de Nawakim est de celles qui se chuchotent le soir au coin du feu, quand vient l'heure des conteurs, l'heure des légendes, l'heure de toutes les folies.
Elle est de celles sur lesquelles le temps glisse sans les affecter.
Elle est de celles qui resteront encore vivantes au delà de la succession des âges et des hommes.

C'est cette légende que je vais vous raconter, telle qu'on la murmure dans les châteaux des Wersats.

Cette légende, c'est celle du monde. C'est celle d'une guilde. C'est celle d'un homme...

Venez donc vous asseoir auprès du feu et écoutez !

La légende des Wersats

A l'époque des contes et des légendes, pendant le quatrième âge, la surface du monde vit naître le premier homme qui osa défier les dieux. Ou plus exactement, c'est à cette époque qu'il les défia... car en réalité c'était l'un des immortels du deuxième âge, qui avait plus ou moins survécu au gand cataclysme provoqué par les dieux à l'époque (je dis plus ou moins parce qu'en cette occasion, il devint un Mort-Vivant...).

Cet homme était Jagdpanther, un intrépide barbare qui s'était construit au fil de l'épée une réputation de courage et de noblesse, mais aussi de folle inconscience... probablement alimentée par sa conviction intime de son invincibilité suite à sa résistance au grand raz-de-marée qui avait anéanti le deuxième âge.

Un beau matin, après avoir occis quelques monstres en guise d'échauffement, lui vint l'idée qui changea la face du monde : son prochain adversaire serait un dieu !

Enthousiasmé par cette folle trouvaille, il entreprit l'ascension de la montagne des dieux, celle sur laquelle ils résidaient depuis qu'ils avaient quitté la terre, pour mettre son projet à exécution. Bien installés dans leurs fauteuils nuageux, les dieux le regardèrent escalader leur demeure avec amusement. Quoi, ce misérable ver de terre, cette minuscule puce gesticulante s'imaginait de taille à les défier ?

Arrivé en haut de la montagne, Jagdpanther les apostropha avec verve :
- Holà ! Vous les dieux, je suis venu en ces lieux pour vous mettre au défi ! Je n'ai rencontré sur cette terre rien qui soit de taille à m'affronter, et je gage qu'il en sera de même ici !

A ces mots, les dieux éclatèrent de rire, provoquant des tremblements de terre et des raz-de-marée qui submergèrent la planète. Ce fut la fin du quatrième âge... Les dieux se trouvèrent tous penauds quand ils constatèrent l'ampleur des dégâts. Ils commencèrent à débattre entre eux d'une solution, oubliant le téméraire Jagdpanther. A priori, ils ne trouvèrent pas d'explications à fournir au sujet de ce cataclysme, vu qu'aujourd'hui les conteurs n'y font que de très vagues allusions...

Jagdpanther décida finalement de se rappeler à eux :
- Bon, et mon défi ?
- Oui, heu, bon, tu vois pas qu'on est occupés, là ? Reviens dans un siècle !
Jagdpanther sourit avec indulgence.
- Fort bien, je vais vous laisser le temps de réparer vos bêtises, si c'est encore possible...
Sur ce, il les quitta.

à suivre...

Au cours du siècle qui suivit, Jagdpanther arpenta la Terre, découvrant le nouveau visage que lui avaient donnée les dieux... Soit dit en passant, il trouvait ça un peu moyen. Quelques gros monstres reptiliens, des dinosaures à ce qu'il avait compris, et c'était tout. Les dieux n'avaient apparement pas jugé utile de repeupler la terre d'êtres pensants... Au fil du temps, bien que d'un naturel assez solitaire, cette situation commença à lui peser...

Jusqu'au jour où il croisa d'autres survivants du quatrième âge ! Enfin... un autre... L'un comme l'autre fous de joie de croiser enfin quelqu'un au QI plus élevé qu'un gros lézard, ils se jetèrent l'un sur l'autre et commencèrent à s'entretuer joyeusement...
Après une petite dizaine d'années de combats acharnés, les deux adversaires finirent par admettre qu'ils ne parviendraient jamais à défaire l'autre... En effet, l'intervention accidentelle des dieux leur avait à tous deux accordé l'immortalité, et même si Jagdpanther parvenait toujours à avoir le dessus, l'autre se relevait systématiquement.

Finalement, Jagdpanther proposa une trève :
- Eh ben, mon vieux, c'est bien la première fois que je rencontre quelqu'un qui soit presque aussi coriace que moi ! On se serre la pince ?
- C'est étrange, j'allais prononcer exactement les mêmes mots ! s'exclama l'autre.

Autour d'un bon rôti de stégosaure, les deux compagnons se racontèrent leur parcours respectif; il faut reconnaître que cela prit pas mal de temps, nous ne retranscrirons donc pas leur discussion en détails... En tout cas, quand Jagdpanther en arriva au récit de son défi lancé aux dieux, l’autre, dont le nom s’est perdu à travers les âges, s'enflamma :
- Quelle excellente idée ! Allons, mon ami, quand tu retourneras auprès des dieux, je viendrais avec toi pour les défier moi aussi !

Le moment venu, ce nouveau compagnon suivit donc Jagdpanther dans l'ascension de la montagne des dieux, qui avait depuis peu prit le nom d'Olympe.

Arrivés en haut, ils constatèrent que les dieux ne leur avaient pas prêté la moindre attention, absorbés par leurs disputes incessantes sur l'utilité de recréer des races intelligentes sur terre. Ils attendirent un instant, puis Jagdpanther les héla :
- Holà ! Vous les dieux, je suis venu en ces lieux pour vous mettre au défi ! Je n'ai rencontré sur cette terre rien qui soit de taille à m'affronter, et je gage qu'il en sera de même ici !

A ces mots, les dieux se retournèrent, surpris. L'un d'eux bougonna :
- C'est drôle, j'ai l'impression d'avoir déjà entendu ça quelque part...
- Oui, répondit Jagdpanther, c'était déjà moi ! Vous m'avez dit de revenir au bout d'un siècle pour avoir mon défi, et je reviens !

Les dieux se consultèrent du regard, embêtés.
- Le truc, finit par répondre le dieu qui s'était fait le porte parole des autres, c'est qu'on est pas mal occupés, là... Tu pourrais pas repasser... disons... dans cinq mille ans ? Histoire qu'on puisse finir tous nos trucs en cours...

Agacé, Jagdpanther répondit avec hauteur :
- Soit, j'attendrai que vous ayez finis vos petites affaires... Mais je réclame une compensation pour cela !
- Vas-y, donne ton prix...

A ce moment là, l’autre intervint, vexé d'être oublié :
- Eh, oh ! Moi aussi, je veux défier les dieux !
- Même enseigne ! Reviens dans cinq mille ans ! grommela le dieu. Bon, toi, le mort-vivant, ton prix ?
- Une terre ! Je veux une terre qui m'appartienne !
- Moi aussi ! s'insurgea l’autre.
- Bon, prix de groupe... un nouveau continent pour vous deux, ça vous va ?

Jagdpanther et son compagnon se consultèrent du regard. Un continent, ce serait peut-être suffisant pour contenir leurs deux gigantesques ambitions... Ils choisirent d'accepter.

- Bon, heu, on livre pas tout de suite, hein, précisa le dieu. On a d'autres trucs à régler avant. Mais vous l'aurez... un jour.

à suivre....

Sur cette promesse un peu fumeuse, nos deux héros repartirent arpenter le monde d'alors. Avec le temps, ils purent constater que les dieux s'étaient décidés à recréer des êtres intelligents sur la surface du monde... Leur chemin commençait à croiser celui d'humains et de nains, et très rarement d'orcs et d'elfes. Quand aux morts-vivants, ils se cachaient le jour pour terrifier les autres la nuit.

Au fil de leurs pérégrinations, ils commençèrent à réunir autour d'eux une équipe de plus en plus grande : seigneurs, ecuyers, valets, domestiques, esclaves...

Avec le temps, ils prirent plusieurs noms.

Ils furent Toutankamon et tous les habitants de l'Egypte.
Ils furent Achille et sa troupe de soldats aux portes de Troies.
Ils furent Ulysse et ses marins perdus dans la mer adriatique.
Ils furent Romulus et tous les bâtisseurs de Rome.
Ils furent Alexandre le Grand et ses vaillants soldats.
Ils furent Jules César et tous les sénateurs de la Rome antique.
Ils furent Arthur et les chevaliers de la Table Ronde.
Ils furent Richard Coeur de Lion et tous les croisés.
Ils furent Christophe Colomb et ses courageux marins.
Ils furent Napoléon et les vaillants officiers de son empire.
Ils furent D'Artagnan et ses mousquetaires sans oublier Albert, Albert, Albert le cinquième mousquetaire !
Ils furent Olive et Tom et toute leur équipe de foot sur leur terrain de trois mille kilomètres de long.
Ils furent Esteban Zia Tao les Cités d'Oor aah ahahahaah Esteban Zia Tao les Cités d'Or !
Ils furent Heidi Heidi petite fille... heu non, peut-être pas en fait.
Ils furent tous ceux là et bien d'autres encore.

Le moment venu, Jagdpanther et tous ses amis décidèrent de se rendre ensemble à la mntagne des dieux pour obtenir leur défi.

On en était alors à l'apogée du sixième âge, avec ses machines volantes qu'on appelait les avions, qui leur permirent d'arriver à bon port sans même se fatiguer... si on oubliait bien sur les trois heures d'attente dans les bouchons sur le chemin de l'aéroport, les deux heures d'explication avec les contrôleurs sur la présence d'épées et de boucliers dans leurs bagages, les cinq heures d'attente à l'aéroport en raison d'une grève générale, les quatorze heures d'avion, les quinze jours à l'hôpital suite au crach à l'atterrissage (sur ce coup là il faut excuser le pilote, ce n'est pas de sa faute si Jagdpanther a piqué une colère dans l'appareil), les trois heures d'attente dans les bouchons pour s'éloigner de l'hôpital sans alerter la presse, les cinq heures de trajet en bus, les dix heures d'ascension de la montagne...

Bref, on comprend qu'après un tel trajet nos héros espéraient bien avoir enfin gain de cause et obtenir leur défi.

Hélas, les dieux étaient encore occupés à quelque sombre affaire de destruction du monde et de refonte d'un nouvel âge qui serait probablement aussi catastrophique que les précédents au vu des disputes qu'il engendrait.

Une fois de plus, nos valeureux et infatigables héros furent renvoyés au bas de la montagne avec un simple "revenez dans mille ans".

En bas de la montagne, épuisés par ce voyage trop décevant, Jagdpanther et tous ses compagnons décidèrent de camper sur place jusqu'au moment de retourner voir les dieux. Tous approuvèrent, n'ayant aucune envie de refaire le chemin qu'ils venaient de parcourir en sens inverse. Le soir, autour d'un beau feu de joie, tous ces héros se mirent à discuter de l'attitude exaspérante des dieux.
- On devrait peut-être se taper le culot de retourner dès demain... suggéra alors Jagdpanther.
- Tu crois ? demanda l'un des voyageurs. Ils risquent de ne pas aprécier...
- On est là pour les défier, après tout... Je ne crois pas qu'ils aprécient de toute manière... D'ailleurs ce n'est pas vraiment le but.
Sur ces sages paroles, décision fut prise de retourner dès le lendemain voir les dieux.

à suivre...

Ces derniers n'apprécièrent pas. Pas du tout. La fin du sixième âge en fut malencontreusement avancée d'une ou deux décennies...

Mais au moins la manœuvre se révéla payante pour nos héros... d'une certaine manière...

- C'est pas vrai mais regarde ce que tu nous a fait faire ! tonna l'un des dieux (c'était toujours le même qui parlait au nom des autres, d'ailleurs...). Je commence à en avoir marre de toute cette histoire !
- Vous m'avez promis un défi et une terre ! s'insurgea Jagdpanther.
- Me soulent ces wersats ! grommela le dieu.

Pour qui ? Pourquoi ? Comment ? Nul ne le saura jamais. Nul ne saura jamais non plus la signification de ce mot.

Toujours est-il qu'en cette heure et en ce lieu, Jagdpanther et ses amis venaient d'obtenir un nom.

Les Wersats.

A cet instant, Jagdpanther, que sa longue, très longue expérience avait finit par assagir un peu, comprit qu'il ne séparerait plus jamais son chemin de tous ces héros qui l'accompagnaient depuis si longtemps. Ils ne formaient plus qu'un. Un peuple uni, soudé par les mêmes épreuves. Un peuple qui avait un nom.

Les Wersats.

Et il comprit aussi que sa longue, très longue expérience lui procurerait vite un avantage sur tous ses amis. Déjà, il était leur chef. Ils lui obéissaient au doigt et à l'œil. Il comprit que dorénavant ils seraient son peuple.

Les Wersats.

Fort de ces deux certitudes, il comprit aussi que s’il voulait mériter l'obéissance de ses hommes, il devait d'abord leur prouver qu'ils pouvaient lui faire vraiment confiance.

A la surprise de tous, il lança alors :
- Donne-nous notre défi maintenant ! Et donne-nous la terre que tu as promise !
- Nous ? s'étonna le dieu. Je croyais qu'il ne s'agissait que de toi...
- Nous formons un peuple. Ma terre sera la leur ! Ma gloire sera la leur ! Enfin, heu… Ma terre sera la leur !

A ces mots, le dieu soupira. Après un instant de réflexion, il finit par capituler.
- Bon, ça va, voilà ton défi. Trouve ta terre.

Jagdpanther en resta interdit. Il s'était attendu à une épreuve de force, pas à une chasse au trésor...
- Tu veux un indice ? demanda le dieu avec un sourire moqueur.

Jagdpanther hésita. Son honneur lui dictait de sauter à la gorge de ce dieu pour lui faire ravaler ses sarcasmes. D'un autre côté, ce serait condamner ses hommes à renoncer à cette terre qu'il venait juste de se résoudre à leur donner... Ravalant sa fierté et se promettant de se venger de cet affront un autre jour, il décida d'acquiescer d'un bref signe de tête.

- Bon... heu... un indice... tiens ! je vais te donner une suite de mots. Si tu réussis à résoudre l'énigme, tu auras ta terre !

Sur ce, le dieu donna cette liste de mots à Jagdpanther, qui s'empressa de tous les écrire sur un bout de papier :

Citation :

Hache
Tête
Epée
2 Pointes
Shlac!
Shlac!
wersats
pointe
Fore
Hamac
Tif
Pointe
Comme
Shlac!
Forum
Pointe
Hache
Thé
Aime

Sur ce, nos valeureux Wersats redescendirent au pied de la montagne, plutôt dubitatifs, il faut le reconnaître.
- Bon, faut pas se laisser abattre, tenta de les encourager Jagdpanther. C'est juste une petite énigme de rien du tout...

Il leur fallut du temps. Du temps qu'ils mirent à contribution pour découvrir le nouveau monde qui s'offrait à eux. Le monde du septième âge.
La vie les amena à se disperser sur la surface du monde, mais ils restèrent toujours unis. D'abord dans l'ombre, ils commencèrent petit à petit à se faire connaître comme les Wersats de Nawakim. Ils développèrent leurs domaines respectifs sur différentes îles.

Jusqu'au jour où un jeune membre de la guilde découvrit presque par hasard la solution de l'énigme...

Aussitôt alertés, tous les membres se précipitèrent à la découverte de cette terre... qui s'avéra plutôt décevante. Il ne s'agissait pas vraiment d'une terre, plus d'un lieu où ils pouvaient se retrouver quelque soit leur position. Un lieu en dehors du temps et de l'espace... C'était certes parfait pour permettre à tous les Wersats de ressouder leurs liens, de faire front uni face aux ennemis, de s'entraider dans les difficultés ou plus simplement de partager leurs souvenirs des anciens âges...
Mais ce n'était pas vraiment une terre...

Aussi, un beau jour, en ce havre magique que les dieux avaient consenti à donner aux Wersats, Jagdpanther convoqua tous les hommes.
- Frères, déclara-t-il, les dieux se sont joués de nous. Ils nous ont promis une terre sur laquelle nous pourrions vivre ensemble, en paix, et prospérer. Ce n'est pas ce qu'ils nous ont donné. Mais on a découvert il y a peu une nouvelle île. Je veux parler de l'île de Dakim. Si nous le voulons vraiment, cette île peut être notre terre. Nous pouvons en faire notre terre ou nous vivrons en paix, ensemble. Certes, des hommes y vivent déjà. Mais nous pouvons leur offrir la paix. Leur offrir notre vision. Leur offrir une place parmi nous.

Ces propos déclenchèrent une vague d'applaudissements chez les Wersats.
- Ce ne sera pas de tout repos, reprit Jagdpanther. Certains se dresseront sur notre chemin pour nous en empêcher. Certains ne veulent pas de la paix. Cette île, il nous faudra parfois la conquérir par la ruse ou par la force. Cela signifiera pour certains de vous renoncer à tout ce qu'ils ont créé sur leurs domaines. Je comprendrais que certains préfèrent rester sur cette terre où nous ne sommes que des étrangers. Cela ne les oblige en aucun cas à se séparer de nous. Mais ceux qui tiennent à ce rêve, je les invite à venir avec moi pour gagner notre terre !

Naturellement, la plupart ne protestèrent pas, le coup de hache du grand chef était déjà célèbre…

à suivre...

Les Wersats partirent donc sur leurs bâteaux, emportant serviteurs et provisions, pour s'établir sur Dakim. L'installation se passa plutôt bien...

Très vite, les Wersats se firent une grande renommée sur l'île.

C'est alors que Jagdpanther décida de s'essayer à la politique...
Il se présenta au premier tour des premières elections de Dakim, fort du soutien de tous les Wersats, et passa haut la main au second tour !
Emportant même la majorité absolue, il avait le droit légal de devenir président de l'île...

Mais les dieux en décidèrent autrement... Encore aigris du défi lancé par l'illustre squelette, ils décrétèrent qu'un second tour était néanmoins nécéssaire.
Son adversaire, membre de l'ignoble famille des Vongolas, passa un odieux marché avec un obscur dieu que l'on appelle encore Kopyékolé, lequel difusa à sa place le programme d'un autre candidat, établit sur une île lointaine... C'est ainsi que le mafieux parvint frauduleusement à remporter la victoire au second tour des elections !

C'en était trop pour le valeureux Jagdpanther ! Comment cette minuscule larve osait-elle le défier ainsi ?

D'autant plus que la misérable famille se révéla désastreuse pour l'île. Devant la gestion catastrophique, et furieux suite à une succession d'affronts injustifiés, Jagdpanther décida que les Wersats déclareraient la guerre aux Vongolas !

La bataille fut courte... Les vongolas furent pitoyables...
La victoire fut écrasante...

Commença alors pour les Wersats, enfin parvenu à la tête de l'île de Dakim, une période faste...
Une période au cours de laquelle leurs rangs grossirent...
Une période de réjouissances au cours de laquelle se trama sans que personne s'en doute la fin des Wersats...

à suivre...

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